Chronique "Les naufragés du métropolitain"
Acheter sur BD FugueLa vie se poursuit tant bien que mal pour les parisiens en ce janvier 1910, où la seine ne cesse de monter dans les rues de Paris et qui va bientôt connaitre la crue du siècle.
Chez le joaillier Morchard de la place Vendôme, les ouvriers et apprentis s’activent pour respecter les exigences de leurs riches clients.
C’est ainsi que nous allons faire la connaissance de Louise, jeune orpheline, et de Valentin Berneval, tous deux pris sous l’aide de leur patron M. Morchard.
Dès les premières pages, leurs destins semblent prendre des chemins opposés au gré de leurs rencontres.
Louise partageant les coulisses du métro et du moulin rouge (Ce qui nous permet également de faire un peu de tourisme historique) en compagnie de « Henri De La Roche », pianiste de son état (dont nous apprendrons plus tard sa véritable identité). Tandis que Valentin se laisse entrainer dans les bas fonds de la vie parisienne par l’anarchiste Le Fennec, où leurs nuits sont rythmées de violence, braquage et relation avec des filles de joies (une autre facette du tourisme). Le Fennec est-il sincère ou bien est-il en train d’organiser une véritable arnaque sur le dos de Valentin pour atteindre le joaillier.
Aux commandes de ce nouveau récit, Patrice Ordas nous livre un magnifique ballet d’acteurs où il vous faudra décrypter les doubles jeux entre Louise (la jeune fille innocente), l’influençable Valentin, le malfrat Le Fennec et le gentleman Commissaire Sebille. Autant de personnages qui vous tiendront en haleine durant tout l’album.
Nathalie Berr de sont côté nous livre un graphisme plein de technicité pour nous plonger dans l’univers du Paris de la Belle époque. Accentuant son encrage sur les personnages et monuments de premier plan permettant une lecture en quasi 3D plus qu’originale.
Il nous tarde de découvrir le deuxième volume qui clôturera ce dytique et nous livrera le destin des protagonistes des naufragés du métropolitain. Espérant également que le Paris de 1910, le métropolitain et la seine prennent également une part encore plus importante dans l’action afin d’enrichir d’avantage notre culture.
Chez le joaillier Morchard de la place Vendôme, les ouvriers et apprentis s’activent pour respecter les exigences de leurs riches clients.
C’est ainsi que nous allons faire la connaissance de Louise, jeune orpheline, et de Valentin Berneval, tous deux pris sous l’aide de leur patron M. Morchard.
Dès les premières pages, leurs destins semblent prendre des chemins opposés au gré de leurs rencontres.
Louise partageant les coulisses du métro et du moulin rouge (Ce qui nous permet également de faire un peu de tourisme historique) en compagnie de « Henri De La Roche », pianiste de son état (dont nous apprendrons plus tard sa véritable identité). Tandis que Valentin se laisse entrainer dans les bas fonds de la vie parisienne par l’anarchiste Le Fennec, où leurs nuits sont rythmées de violence, braquage et relation avec des filles de joies (une autre facette du tourisme). Le Fennec est-il sincère ou bien est-il en train d’organiser une véritable arnaque sur le dos de Valentin pour atteindre le joaillier.
Aux commandes de ce nouveau récit, Patrice Ordas nous livre un magnifique ballet d’acteurs où il vous faudra décrypter les doubles jeux entre Louise (la jeune fille innocente), l’influençable Valentin, le malfrat Le Fennec et le gentleman Commissaire Sebille. Autant de personnages qui vous tiendront en haleine durant tout l’album.
Nathalie Berr de sont côté nous livre un graphisme plein de technicité pour nous plonger dans l’univers du Paris de la Belle époque. Accentuant son encrage sur les personnages et monuments de premier plan permettant une lecture en quasi 3D plus qu’originale.
Il nous tarde de découvrir le deuxième volume qui clôturera ce dytique et nous livrera le destin des protagonistes des naufragés du métropolitain. Espérant également que le Paris de 1910, le métropolitain et la seine prennent également une part encore plus importante dans l’action afin d’enrichir d’avantage notre culture.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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