Lady Mechanika T04 La Dama de la Muerte
Scénario : M.M. ChenDessin : Joe Benitez et Martin Montiel
Couleurs : Mike Garcia, Peter Steigerwald et Beth Sotelo
Deux histoires pour le prix d’une dans cet album : une enquête ésotérique et un western mexicain. Et toujours avec de superbes dessins à admirer.
Des garçons des rues disparaissent dans les faubourgs populaires de Mechanika City. Le sort de ces orphelins n’émeut pas grand monde sauf Lady Mechanika qui décide de mener sa propre enquête. Elle croise alors la route de l’inspecteur Singh, en charge de l’affaire, et sans doute le seul policier à vraiment se soucier des jeunes disparus. Ils joignent leurs forces pour suivre la piste d’une magie kabbalistique dévoyée.
Dans l’autre histoire, Lady Mechanika arrive au Mexique le jour des Morts. Elle décide de participer aux festivités dans un petit village de la campagne où elle est fort bien reçue. Mais elle apprend que les villageois doivent payer un tribut à une bande de démons sévissant dans la région. Ces derniers enlèvent et mutilent des enfants si les villages ne payent pas le tribut exigé. Ne croyant pas que ces pilleurs soient vraiment des créatures surnaturelles, Lady Mechanika s’interpose pour protéger les villageois. Elle apprendra à ses dépens que l’enfer est pavé de bonnes intentions…
Les albums se suivent mais ne se ressemblent pas. Après de l’aventure pulp dans le précédent album, on a ici affaire à deux genres bien différents : une enquête urbaine et surnaturelle, puis un western folklorique tristement réaliste. Si la première histoire est assez intéressante, soulevant quelques questions de fond sur le prix de l’immortalité, la deuxième est assez basique et ne sert que de prétexte pour utiliser le folklore du jour des Morts dans la série. Il faut bien reconnaître que graphiquement, c’est très réussi. Les maquillages, les créatures surnaturelles (ou pas), les décors magnifient les dessins déjà superbes à la base de Benitez. On pourra donc pardonner les facilités scénaristiques et les dialogues parfois un peu longuets.
Des garçons des rues disparaissent dans les faubourgs populaires de Mechanika City. Le sort de ces orphelins n’émeut pas grand monde sauf Lady Mechanika qui décide de mener sa propre enquête. Elle croise alors la route de l’inspecteur Singh, en charge de l’affaire, et sans doute le seul policier à vraiment se soucier des jeunes disparus. Ils joignent leurs forces pour suivre la piste d’une magie kabbalistique dévoyée.
Dans l’autre histoire, Lady Mechanika arrive au Mexique le jour des Morts. Elle décide de participer aux festivités dans un petit village de la campagne où elle est fort bien reçue. Mais elle apprend que les villageois doivent payer un tribut à une bande de démons sévissant dans la région. Ces derniers enlèvent et mutilent des enfants si les villages ne payent pas le tribut exigé. Ne croyant pas que ces pilleurs soient vraiment des créatures surnaturelles, Lady Mechanika s’interpose pour protéger les villageois. Elle apprendra à ses dépens que l’enfer est pavé de bonnes intentions…
Les albums se suivent mais ne se ressemblent pas. Après de l’aventure pulp dans le précédent album, on a ici affaire à deux genres bien différents : une enquête urbaine et surnaturelle, puis un western folklorique tristement réaliste. Si la première histoire est assez intéressante, soulevant quelques questions de fond sur le prix de l’immortalité, la deuxième est assez basique et ne sert que de prétexte pour utiliser le folklore du jour des Morts dans la série. Il faut bien reconnaître que graphiquement, c’est très réussi. Les maquillages, les créatures surnaturelles (ou pas), les décors magnifient les dessins déjà superbes à la base de Benitez. On pourra donc pardonner les facilités scénaristiques et les dialogues parfois un peu longuets.
Christophe
Chroniqueur
La Bande Du 9
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