PLACERVILLE
PLACERVILLE
Scénario : Christophe Bec
Dessin : Cyrille Ternon
Editions : Glénat
Croiser une enfant abandonnée sur le bord de la route n’est jamais de bon augure. Christophe Bec et Cyrille Ternon nous en donnent la preuve. Un thriller façon The Ring et Dame Blanche.
Misty et sa mère reviennent de chez les Barett après le dîner par la route 50. Sur la route, elles discutent de cette soirée qui n’est pas des plus mémorables. Quand tout d’un coup, Misty aperçoit sur le bord de la route une jeune fille, les pieds dans la neige. Après avoir cru à une hallucination, les deux femmes décident de faire demi-tour et de porter secours à cette gamine. Elle est là, bien présente, sans bouger, plantée dans la neige. Les deux femmes s’approchent, l’observent et se mettent à crier d’horreur.
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65 ans plus tard dans une ville de Californie, Une femme et son enfant doivent se rendre à San Diego en empruntant également la route 50. Mais malheureusement, ils n’arriveront jamais à destination. Que cache cette route mystérieuse où les morts et les disparus se multiplient ?
Après une intro digne des meilleurs thrillers, Christophe Bec nous livre un scénario qui fait froid dans le dos à base de Dame Blanche et plante l’histoire dans une ambiance où les décors de ces grandes forêts américaines semblent pré destinés à l’horreur. Le récit démarre très fort, il y a un bon fil de lecture, ça déroule tranquillement même s’il y a des passages qui ne sont pas des plus aisés à suivre.
Le dessin de Cyrille Ternon est très bien fourni, offre de belles perspectives et de beaux points de vue qui permettent de suivre agréablement le récit et d’avoir des sueurs froides.
Ce n’est certes pas le meilleur récit de Christophe Bec qui nous avait habitués à du haut niveau avec d’autres titres de la collection Flesh & Bones mais cela reste malgré tout suffisamment stressant pour ne pas avoir envie de se perdre en forêt.
Misty et sa mère reviennent de chez les Barett après le dîner par la route 50. Sur la route, elles discutent de cette soirée qui n’est pas des plus mémorables. Quand tout d’un coup, Misty aperçoit sur le bord de la route une jeune fille, les pieds dans la neige. Après avoir cru à une hallucination, les deux femmes décident de faire demi-tour et de porter secours à cette gamine. Elle est là, bien présente, sans bouger, plantée dans la neige. Les deux femmes s’approchent, l’observent et se mettent à crier d’horreur.
65 ans plus tard dans une ville de Californie, Une femme et son enfant doivent se rendre à San Diego en empruntant également la route 50. Mais malheureusement, ils n’arriveront jamais à destination. Que cache cette route mystérieuse où les morts et les disparus se multiplient ?
Après une intro digne des meilleurs thrillers, Christophe Bec nous livre un scénario qui fait froid dans le dos à base de Dame Blanche et plante l’histoire dans une ambiance où les décors de ces grandes forêts américaines semblent pré destinés à l’horreur. Le récit démarre très fort, il y a un bon fil de lecture, ça déroule tranquillement même s’il y a des passages qui ne sont pas des plus aisés à suivre.
Le dessin de Cyrille Ternon est très bien fourni, offre de belles perspectives et de beaux points de vue qui permettent de suivre agréablement le récit et d’avoir des sueurs froides.
Ce n’est certes pas le meilleur récit de Christophe Bec qui nous avait habitués à du haut niveau avec d’autres titres de la collection Flesh & Bones mais cela reste malgré tout suffisamment stressant pour ne pas avoir envie de se perdre en forêt.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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