ARIFURETA T06
ARIFURETA T06
De zéro à Héros
Oeuvre originale : Ryo Shirakome
Manga : RoGa
Character Design : Takaya-ki
Edition : Delcourt Tonkam
Hajime doit sauver une ville en grand danger, mais Aiko doit l’en convaincre.
“ Maintenant accompagnés de Tio, l’homme-dragon, Hajime et ses compagnons retournent à Ur. Menacée par une armée de monstres, la ville est en grand danger. Le jeune homme décide toutefois de l’abandonner à son triste sort, du moins jusqu’à ce qu’Aiko parvienne difficilement à le faire changer d’avis. Grâce aux extraordinaires pouvoirs des membres du groupe, les créatures sont anéanties et l’éminence grise à l’origine de l’attaque, arrêtée"
Il m’a été difficile de faire une chronique pour ce manga puisque je n’ai lu aucun des tomes précédents. Je n’ai donc pas ressenti un attachement fort aux personnages ni aux situations et j’ai eu encore plus de mal à comprendre les enjeux en cause.
Que puis-je donc vous en dire ? Eh bien, les dessins surtout ceux des personnages sont très bien fait, évidemment les poitrines pour la plupart des personnages féminins sont disproportionnées et les paysages négligés, mais cela fait partie du genre du manga. On ne peut lui reprocher de reprendre les règles du genre, mais on peut négliger qu’il ne s’en sépare pas un peu plus, au moins la dessus.
Malgré le fait que je ne connaisse pas l’histoire antérieure, j’ai tout de même pu aisément comprendre ce qu’il se passait. Ai-je eu de la chance de tomber sur un tome qui peut se lire presque comme un one shot ? Ou bien l’auteur parvient-il à rendre aisé cette compréhension ? Le découpage de son histoire est-elle ainsi fait pour permettre une lecture facile ?
Le plus important qu’en ai-je pensé ?
Ce tome m’a donné envie de lire les précédents je l’avoue. J’ai eu des lacunes pour tout comprendre et j’aimerais combler les trous. L’histoire semble assez profonde, plus que ce que le synopsis du premier tome ne le laisse penser. Il ne s’agit pas simplement d’un lycéen qui devient plus fort suite à la trahison de ses camarades. On découvre en filigrane une société qui a ses problèmes et qui semblent rejeter une partie d’entre elle, à commencer par tout ce qui n’est pas humain.