Chronique "Le roy des ribauds"
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Je continue ?
Le Roy des Ribauds est une vraie réussite, la BD à ne pas louper en ce début d’année.
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Côté scénario, Vincent Brugeas nous entraine dans cette histoire de vengeance, qui évolue très vite dans une enquête de meurtre inextricable pour nos héros, pour finalement nous retrouver sous haute tension où la vie d’un roi est en jeu…
Et ça continue pendant les 160 pages de l’album.
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On vibre, on est inquiet pour le triste Sire et ses deux lieutenants, qui se retrouvent dans des postures bien fâcheuses. On les apprécie, car ils sont charismatiques, ont une certaine légitimité royale, sont confrontés à des personnes vraiment peu recommandables et se complètent par leur différences (religions, origines, types d’arme…). Et c’est un vrai tour de force de la part des auteurs, car ces héros sont des antis héros par excellence : patron de bordels, violents, et intéressés.
L’époque choisie permet aux auteurs de ne pas s’embarrasser dans les conflits et règlements de comptes, ça tranche dans le vif !
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Côté dessin justement, c’est totale maitrise, Ronan Toulhaot a une technique qui rend la lecture très dynamique et lisible, avec des jeux de couleurs bien trouvés. Les décors sont sublimes, rien ne lui fait peur, preuve en est page 105 avec une superbe vue en plongée d’une foule sortant de la Cathédrale.
Il me reste à vous souhaiter une bonne lecture, amis de la Bande du 9.
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Laurent
Chroniqueur
La Bande Du 9
Je continue ?
Le Roy des Ribauds est une vraie réussite, la BD à ne pas louper en ce début d’année.
Côté scénario, Vincent Brugeas nous entraine dans cette histoire de vengeance, qui évolue très vite dans une enquête de meurtre inextricable pour nos héros, pour finalement nous retrouver sous haute tension où la vie d’un roi est en jeu…Et ça continue pendant les 160 pages de l’album.
On vibre, on est inquiet pour le triste Sire et ses deux lieutenants, qui se retrouvent dans des postures bien fâcheuses. On les apprécie, car ils sont charismatiques, ont une certaine légitimité royale, sont confrontés à des personnes vraiment peu recommandables et se complètent par leur différences (religions, origines, types d’arme…). Et c’est un vrai tour de force de la part des auteurs, car ces héros sont des antis héros par excellence : patron de bordels, violents, et intéressés.
L’époque choisie permet aux auteurs de ne pas s’embarrasser dans les conflits et règlements de comptes, ça tranche dans le vif !
Côté dessin justement, c’est totale maitrise, Ronan Toulhaot a une technique qui rend la lecture très dynamique et lisible, avec des jeux de couleurs bien trouvés. Les décors sont sublimes, rien ne lui fait peur, preuve en est page 105 avec une superbe vue en plongée d’une foule sortant de la Cathédrale.
Il me reste à vous souhaiter une bonne lecture, amis de la Bande du 9.
Laurent
Chroniqueur
La Bande Du 9
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