Chronique "Rider on the storm " T03
Rome, fief de l’écurie MV Agusta et lieu de destination pour Gaspard Sarini. Dans ce troisième volet, notre pilote part pour l’Italie à la recherche de son père Stéphano Giani membre de la Storm (réseau de résistants pendant la seconde guerre mondiale). Dans son périple, il pourra compter sur Mauro Capelli qui lui présentera le renommé Comte Agusta,
propriétaire de la prestigieuse marque du même nom.
Le Comte lui offrira la chance de courir sous les couleurs de la MV Agusta et peut être la possibilité de l’aider à retrouver son père.
Pendant ce temps, le policier ripoux : Raoul de Groot (actuellement enfermé dans une prison Bruxelloise) prépare un projet d’évasion et de vengeance.
Gaspard retrouvera-t-il son père, conservera-t-il la confiance du Comte, L’ex-commissaire Raoul de Groot mènera-t-il son plan à son terme… C’est ce que vous découvrirez dans la suite et fin de Rider on the storm.
Sous le crayon de Baudouin Deville, dans un style très ligne claire, vous allez être plongé dans les années 70 et admirerez les formes des belles cylindrées de cette époque et en particulier la MV Agusta 350-3. Les spécialistes du genre apprécieront la petite fiche technique en fin d’album.
Côté scénario, vous apprécierez la valse des mots de Géro (fils de Baudoin Deville) qui utilise avec aisance et humour des termes typiquement bruxellois qu’il fait jaillir notamment de la bouche de Jo le mécano.
Malgré tout, on peut regretter que la fin de cette trilogie soit aussi rapide qu’un tour de circuit, nous laissant un peu dans notre propre interprétation finale.
propriétaire de la prestigieuse marque du même nom.
Le Comte lui offrira la chance de courir sous les couleurs de la MV Agusta et peut être la possibilité de l’aider à retrouver son père.
Pendant ce temps, le policier ripoux : Raoul de Groot (actuellement enfermé dans une prison Bruxelloise) prépare un projet d’évasion et de vengeance.
Gaspard retrouvera-t-il son père, conservera-t-il la confiance du Comte, L’ex-commissaire Raoul de Groot mènera-t-il son plan à son terme… C’est ce que vous découvrirez dans la suite et fin de Rider on the storm.
Sous le crayon de Baudouin Deville, dans un style très ligne claire, vous allez être plongé dans les années 70 et admirerez les formes des belles cylindrées de cette époque et en particulier la MV Agusta 350-3. Les spécialistes du genre apprécieront la petite fiche technique en fin d’album.
Côté scénario, vous apprécierez la valse des mots de Géro (fils de Baudoin Deville) qui utilise avec aisance et humour des termes typiquement bruxellois qu’il fait jaillir notamment de la bouche de Jo le mécano.
Malgré tout, on peut regretter que la fin de cette trilogie soit aussi rapide qu’un tour de circuit, nous laissant un peu dans notre propre interprétation finale.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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