Conquêtes tome 7
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Tome 07 - TAMANI
Scénario : Jean Luc ISTIN - Nicolas JARRY
Dessin : Zivorad RADIVOJEVIC
Couleurs : Vincent POWELL
Editions : SOLEIL
Ecrasé sur la planète Tanami, un groupe de survivants australiens part à la découverte de cette planète mi-hostile mi-accueillante. Pas facile de faire preuve de discernement car la totalité des survivants est frappée d’amnésie. Un nouveau récit de Jarry et Istin, qui arrivent encore à nous surprendre.
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Le réveil est douloureux pour le lieutenant Taylor. Il se relève péniblement et se déplace vers une clairière où il découvre un vaisseau d’origine extraterrestre, de nombreux morts et blessés parmi les décombres. Taylor a ce point commun avec eux, il ne se souvient de rien. Impossible de se souvenir pourquoi et comment ils sont arrivés là. Le groupe de survivants va se serrer les coudes, Taylor va faire la connaissance de Jones et Wilson. Les éléments de souvenirs vont revenir petit à petit. Ils se souviennent maintenant qu’ils sont australiens et qu’ils étaient à la recherche de la planète Tanami. Ont-ils atteint leur but, le seul moyen de le savoir est de s’aventurer dans la jungle. Mais au lieu de tomber sur un nouveau monde, ce sont des dinosaures qui vont les accueillir. Un monde préhistorique où l’ennemi le plus dangereux n’est peut-être pas le plus visible.
Pas simple de se renouveler dans cette série qui a pour concept la conquête d’autres planètes pour échapper à la terre qui n’a plus les ressources nécessaires pour faire vivre son humanité. Pour ce tome 07, Istin et Jarry ont de nouveau réussi à nous surprendre en envoyant cette fois-ci une troupe d’australiens sur la planète Tanami. L’originalité de ce numéro est l’amnésie. Tous les protagonistes se retrouvent amnésiques et vont reconstruire petit à petit leur parcours et c’est là que les choses vont commencer à se tendre. Pourtant l’ambiance de départ est verdoyante, la nature est certes hostile, et de grands dinosaures ont élu domicile dans la jungle mais les aliens qui y vivent aussi semblent accueillants et prêts à collaborer.
En résumé, le récit est bien construit, bien géré, permettant d’être dans le suspense et d’être surpris jusqu’à la fin, l’action est au rendez-vous-même si la fin dénote un peu.
Graphiquement, Zivorad Radivojevic propose de très belles planches soit sur des grands espaces soit sur des cases rapprochées mais très minutieuses et détaillées, et la couleur de Vincent Powell est fortement appréciée.
Au final un très bel album que nous vous conseillons.
Le réveil est douloureux pour le lieutenant Taylor. Il se relève péniblement et se déplace vers une clairière où il découvre un vaisseau d’origine extraterrestre, de nombreux morts et blessés parmi les décombres. Taylor a ce point commun avec eux, il ne se souvient de rien. Impossible de se souvenir pourquoi et comment ils sont arrivés là. Le groupe de survivants va se serrer les coudes, Taylor va faire la connaissance de Jones et Wilson. Les éléments de souvenirs vont revenir petit à petit. Ils se souviennent maintenant qu’ils sont australiens et qu’ils étaient à la recherche de la planète Tanami. Ont-ils atteint leur but, le seul moyen de le savoir est de s’aventurer dans la jungle. Mais au lieu de tomber sur un nouveau monde, ce sont des dinosaures qui vont les accueillir. Un monde préhistorique où l’ennemi le plus dangereux n’est peut-être pas le plus visible.
Pas simple de se renouveler dans cette série qui a pour concept la conquête d’autres planètes pour échapper à la terre qui n’a plus les ressources nécessaires pour faire vivre son humanité. Pour ce tome 07, Istin et Jarry ont de nouveau réussi à nous surprendre en envoyant cette fois-ci une troupe d’australiens sur la planète Tanami. L’originalité de ce numéro est l’amnésie. Tous les protagonistes se retrouvent amnésiques et vont reconstruire petit à petit leur parcours et c’est là que les choses vont commencer à se tendre. Pourtant l’ambiance de départ est verdoyante, la nature est certes hostile, et de grands dinosaures ont élu domicile dans la jungle mais les aliens qui y vivent aussi semblent accueillants et prêts à collaborer.
En résumé, le récit est bien construit, bien géré, permettant d’être dans le suspense et d’être surpris jusqu’à la fin, l’action est au rendez-vous-même si la fin dénote un peu.
Graphiquement, Zivorad Radivojevic propose de très belles planches soit sur des grands espaces soit sur des cases rapprochées mais très minutieuses et détaillées, et la couleur de Vincent Powell est fortement appréciée.
Au final un très bel album que nous vous conseillons.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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