Démonistes
Acheter sur BD FugueDEMONISTES
Tome 1 - VLAD
Scénario : Olivier Gay
Dessin : GeyseR
Couleur : Gibie
Accompagné de Geyser au dessin, Olivier Gray s’invite dans le monde de la BD à travers la série « Démonistes ». Si vous aimez l’humour décalé, le dessin animé, la fantaisie et rester enfermé chez vous derrière un écran, ce récit est fait pour vous.
A Surin, l’empire connait la paix et la prospérité. Pourtant un jour, en plein centre de la capitale, un portail fait son apparition et personne n’est capable de le refermer. Pour le moment, les démonistes sont capables d’invoquer des démons et de maintenir l’ouverture. Mais qu’adviendrait-il si la faille venait à s’agrandir ? Le roi par mesure de précaution va mandater une équipe dont la démoniste Tillie fait partie, pour retrouver Vlad, le démoniste le plus puissant du royaume mais actuellement en exil depuis une vingtaine d’années. Une fois retrouvé, le constat est amer car Vlad est plongé dans un coma depuis de nombreuses années. Tillie va tout faire pour le ramener à la vie car Vlad est bien plus qu’un simple démoniste à ses yeux, leurs souvenirs de jeunesse pourraient avoir un lien avec ce portail et le maintien de la paix.
Le petit bandeau accompagnant la BD annonce la couleur, Olivier Gray est un auteur à succès au rayon roman et l’album se dit être plus drôle que l’ouvrage fictif de H. P. Lovecraft. Humour ou réalité, il va falloir se donner son avis sur ce premier volet des « démonistes ». Car n’est pas auteur de BD qui veut, les codes ne sont pas les mêmes et la mise en place d’un récit ne peut pas être la même que dans un roman. Certes on retrouve plein de références à Harry Potter, au Seigneur des anneaux, l’humour ados attardés coincés devant Disney Chanel est là, ce qui permet de s’évader un peu.
Le récit est accompagné par Geyser au dessin. Attention ne vous attendez pas à du grand Geyser que vous avez connu à travers Androïdes ou Omnopolis, ici l’auteur s’est mis au niveau du scénario et à la portée des lecteurs fans de Pokemon. Son style DA relève cependant le niveau pour notre plus grand plaisir. Les couleurs daltoniques psychédéliques de Gibie viennent packager le tout.
Une série bien ciblée qui va convenir à un lectorat jeune, fan d’Olivier Gray et de son humour. A en croire les éloges sur le net, cette série a de l’avenir, de mon côté, je retourne à l’EHPAD, je suis visiblement dépassé pour ce type de série.
A Surin, l’empire connait la paix et la prospérité. Pourtant un jour, en plein centre de la capitale, un portail fait son apparition et personne n’est capable de le refermer. Pour le moment, les démonistes sont capables d’invoquer des démons et de maintenir l’ouverture. Mais qu’adviendrait-il si la faille venait à s’agrandir ? Le roi par mesure de précaution va mandater une équipe dont la démoniste Tillie fait partie, pour retrouver Vlad, le démoniste le plus puissant du royaume mais actuellement en exil depuis une vingtaine d’années. Une fois retrouvé, le constat est amer car Vlad est plongé dans un coma depuis de nombreuses années. Tillie va tout faire pour le ramener à la vie car Vlad est bien plus qu’un simple démoniste à ses yeux, leurs souvenirs de jeunesse pourraient avoir un lien avec ce portail et le maintien de la paix.
Le petit bandeau accompagnant la BD annonce la couleur, Olivier Gray est un auteur à succès au rayon roman et l’album se dit être plus drôle que l’ouvrage fictif de H. P. Lovecraft. Humour ou réalité, il va falloir se donner son avis sur ce premier volet des « démonistes ». Car n’est pas auteur de BD qui veut, les codes ne sont pas les mêmes et la mise en place d’un récit ne peut pas être la même que dans un roman. Certes on retrouve plein de références à Harry Potter, au Seigneur des anneaux, l’humour ados attardés coincés devant Disney Chanel est là, ce qui permet de s’évader un peu.
Le récit est accompagné par Geyser au dessin. Attention ne vous attendez pas à du grand Geyser que vous avez connu à travers Androïdes ou Omnopolis, ici l’auteur s’est mis au niveau du scénario et à la portée des lecteurs fans de Pokemon. Son style DA relève cependant le niveau pour notre plus grand plaisir. Les couleurs daltoniques psychédéliques de Gibie viennent packager le tout.
Une série bien ciblée qui va convenir à un lectorat jeune, fan d’Olivier Gray et de son humour. A en croire les éloges sur le net, cette série a de l’avenir, de mon côté, je retourne à l’EHPAD, je suis visiblement dépassé pour ce type de série.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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