GANTZ : G
Tome 2
(Delcourt / Tonkam)
(Delcourt / Tonkam)
Dessin :: IIZUKA Keita
Scénario :: OKU Hiroya
Editeur : Delcourt / Tonkam
Type: Seinen
Genre: Action, Fantastique
2005, une classe entière chute d’un pont au cours d’une sortie scolaire a? bord d’un bus. Les passagers se réveillent dans une école abandonnée et se retrouvent obligés de suivre les ordres d’une sphère noire appelée « Gantz ». Ils doivent alors éliminer des visiteurs venus d’un autre monde pour gagner des points permettant de retrouver leur liberté ou ressusciter un être proche. Après avoir accomplie leur première mission, les 5 survivantes retrouvent leur vie ordinaire à l’exception prêt qu’elles vont devoir s’entraîner … Plus inquiétant encore que l’attente d’une nouvelle mission sanglante, les tensions au sein du groupe ne présages rien de positif …
Ce tome 2 de « GANTZ G » nous propose de nous concentrer sur la vie de nos 5 « guerrières ». On y apprend que chaque fille possède une vie dotée de son lot de contraintes.
Entre la « star » harcelée par un fan peu ragoutant, une sportive à fort caractère, une mangaka en devenir discrète ou une fille avec un père peu orthodoxe, tout est fait pour nous attacher (ou non) aux personnages, et c’est plutôt réussi. Chacun y trouvera son compte. Tout au long du volume, l’auteur jongle entre entraînement destiné à familiariser nos protagonistes à la portée de leur uniforme de combat et entre les caractères, vies, liens qu’elles entretiennent entre elles et avec leurs proches.
Malgré tout, l’histoire est mouvementée et même si nous ressentons de l’appréhension sur les terribles missions que proposera cette énigmatique sphère, la vie « réelle » n’est pas épargnée par ses propres monstres (un père violent et incestueux, un pervers fanatique …).
La fin du tome est marquée par le début d’une nouvelle mission avec une mort à en perdre la tête …
En ce qui concerne la couverture, celle-ci est soignée et attire par ses couleurs rouges et noires légèrement en relief, fidèles à l’esprit « Gantz ». A l'intérieur, le papier est souple et l'impression est propre.
« Gantz » est une série qui a fait ses preuves pour les amateurs d’ambiance sombre et farfelue. « Gantz G » en est un spin off qui, bien qu’indépendant à la série originale, nous proposera, sans nul doute, son lot de surprise. A noter tout de même que pour un lecteur non initié à l’univers, certains détails vous échapperont.
Nous attendrons le prochain volume avec curiosité.
Ce tome 2 de « GANTZ G » nous propose de nous concentrer sur la vie de nos 5 « guerrières ». On y apprend que chaque fille possède une vie dotée de son lot de contraintes.Entre la « star » harcelée par un fan peu ragoutant, une sportive à fort caractère, une mangaka en devenir discrète ou une fille avec un père peu orthodoxe, tout est fait pour nous attacher (ou non) aux personnages, et c’est plutôt réussi. Chacun y trouvera son compte. Tout au long du volume, l’auteur jongle entre entraînement destiné à familiariser nos protagonistes à la portée de leur uniforme de combat et entre les caractères, vies, liens qu’elles entretiennent entre elles et avec leurs proches.
Malgré tout, l’histoire est mouvementée et même si nous ressentons de l’appréhension sur les terribles missions que proposera cette énigmatique sphère, la vie « réelle » n’est pas épargnée par ses propres monstres (un père violent et incestueux, un pervers fanatique …).
La fin du tome est marquée par le début d’une nouvelle mission avec une mort à en perdre la tête …
En ce qui concerne la couverture, celle-ci est soignée et attire par ses couleurs rouges et noires légèrement en relief, fidèles à l’esprit « Gantz ». A l'intérieur, le papier est souple et l'impression est propre.
« Gantz » est une série qui a fait ses preuves pour les amateurs d’ambiance sombre et farfelue. « Gantz G » en est un spin off qui, bien qu’indépendant à la série originale, nous proposera, sans nul doute, son lot de surprise. A noter tout de même que pour un lecteur non initié à l’univers, certains détails vous échapperont.
Nous attendrons le prochain volume avec curiosité.
Dimitri
Chroniqueur
La Bande Du 9
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