Indians
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L'ombre noire de l'homme blanc
L'ombre noire de l'homme blanc
Scénario : Tiburce OGER
Dessin : Collectif
Deuxième volet collectif pour Tiburce Oger qui continue à nous faire partager sa passion de la conquête de l’Ouest. Mais sa vision n’est pas hollywoodienne, au contraire ce deuxième volet est consacré à la vision amérindienne et à toutes les interventions des blancs qui ont mené aux massacres et à l’oppression du peuple indien.
Février 1922. Dans une ville américaine, les gens déambulent dans une foire où se mêlent manèges, confiseries, rires, enfants et toutes diverses curiosités. Les gens sont heureux et ravis. Sur une attraction, un homme use de sa voix pour attirer les promeneurs derrière sa toile. Il annonce que pour 15 petits cents, les visiteurs pourront découvrir le plus vieil homme du monde. Sur scène, un vieil homme qui selon l’annonceur serait né en 1783. Il s’agit d’un vieux chef indien du nom de Chippewa encore nommé White Wolf qui aurait connu toutes les aventures du peuple indien. Car oui, avant qu’il soit une bête de foire aux mains des blancs, sa terre était le domaine de vie et de liberté des indiens jusqu’à l’arrivée « des blancs à bouches poilues ».
Après l’immense succès de Go west young man (50 000 exemplaires), les éditions Grand angle par l’intermédiaire de Tiburce Oger ouvrent un nouveau chapitre, celui du peuple indien et surtout la vision des Amérindiens ayant subi l’arrivée des Européens et principalement les Conquistadors, qui mèneront petit à petit à la réduction de leur peuple et à la privation de leur liberté.
Pour mener sa quête, Tiburce Oger va mener seul la construction des différents scénarios et confier ces derniers à d’illustres dessinateurs ayant eux-mêmes œuvré dans l’univers de la conquête de l’Ouest. Parmi les nouveaux venus, Jef, Armand, Astier, Derib, Lauffray, pour ne citer qu’eux.
La construction de ce collectif est bien différente du premier volet où il y avait un objet physique qui passait d’une histoire à l’autre, offrant une certaine originalité à l’intégralité de ce collectif. Ici la construction est différente, l’auteur a fait appel à la réflexion des lecteurs qui passent d’une histoire à l’autre par l’esprit de l’aigle, la chronologie, l’histoire tragique du peuple indien.
C’est ainsi que le lecteur pourra suivre les aventures amérindiennes de 1540 à 1889 pour découvrir ou redécouvrir tous les éléments qui ont mené au bannissement des indiens à travers la colonisation des terres et à ce que l’on pourrait appeler un génocide du peuple indien.
Un troisième tome serait en préparation.
Après l’immense succès de Go west young man (50 000 exemplaires), les éditions Grand angle par l’intermédiaire de Tiburce Oger ouvrent un nouveau chapitre, celui du peuple indien et surtout la vision des Amérindiens ayant subi l’arrivée des Européens et principalement les Conquistadors, qui mèneront petit à petit à la réduction de leur peuple et à la privation de leur liberté.
Pour mener sa quête, Tiburce Oger va mener seul la construction des différents scénarios et confier ces derniers à d’illustres dessinateurs ayant eux-mêmes œuvré dans l’univers de la conquête de l’Ouest. Parmi les nouveaux venus, Jef, Armand, Astier, Derib, Lauffray, pour ne citer qu’eux.
La construction de ce collectif est bien différente du premier volet où il y avait un objet physique qui passait d’une histoire à l’autre, offrant une certaine originalité à l’intégralité de ce collectif. Ici la construction est différente, l’auteur a fait appel à la réflexion des lecteurs qui passent d’une histoire à l’autre par l’esprit de l’aigle, la chronologie, l’histoire tragique du peuple indien.
C’est ainsi que le lecteur pourra suivre les aventures amérindiennes de 1540 à 1889 pour découvrir ou redécouvrir tous les éléments qui ont mené au bannissement des indiens à travers la colonisation des terres et à ce que l’on pourrait appeler un génocide du peuple indien.
Un troisième tome serait en préparation.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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