L'Autre Terre T1
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Tome 1
Scénario : Tom Peyer
Dessin : Jmal Igle
Encrage : Juan Castro
Couleur : Andy Troy
Éditeur : Delcourt
Dessin : Jmal Igle
Encrage : Juan Castro
Couleur : Andy Troy
Éditeur : Delcourt
L’Autre Terre, Comics avec des super héros ? Ben en fait pas complètement…
Venez découvrir ce comics détonant, c’est son originalité qui vous permettra de passer un bon moment.
L’Homme-libellule et son partenaire Dard vivent une vie d’aventures hautes en couleurs, où ils aident la police et arrêtent les méchants sans trop de problème. Sur une autre Terre, L’Homme-libellule pourchasse les criminels déviants les plus violents et les forces de l’ordre corrompues. Soudainement ces deux héros intervertissent leurs places et passent dans un univers qu’ils ne maîtrisent pas. Accrochez-vous, ça va décoiffer !
Et c’est tout l’intérêt de ce récit, cette fausse dualité entre ces 2 univers…
L’un plutôt classique dans le comics où le gentil gagne souvent, sans tuer ces adversaires, juste les blesser un peu pour qu’ils aillent en prison. Tout le monde il est content, les méchants sont presque contents de se faire taper par le super héros. Mais à la page 20, virage à 90°, avec l’arrivée du même héros dans ce monde édulcoré, que l’on a l’habitude de voir dans plusieurs comics de super héros. Et évidemment le héros aux belles intentions, se retrouve lui dans un univers bien plus vivant, et bien plus proche de la réalité quotidienne vécue dans la vrai vie !
Je trouve d’ailleurs très intéressant de suivre l’adaptation dans ces univers inconnus de ces deux Hommes-Libellule. Bravo à Tom Peyer pour ce scénario sans concession. Il s’amuse avec les relations ou les sentiments de ces personnages, cela donne évidemment des scènes cocasses ou dramatiques, comme Dard (l’acolyte de L’homme-Libellule, tel Robin pour Batman) qui lance au double de l’Lomme Libellule : « Nous sommes coincés avec toi, sale tueur ! ».
Bref du bon comics, au genre renouvelé, comme Deadpool avait pu le faire ou certains Spiderman avec son costume noir…
Côté dessin, c’est du costaud. Belle justesse de trait, assez classique, mais efficace, avec une mise en page de Jamal Igle qui permet d’insuffler un dynamisme de lecture page après page. Mention spéciale pour son personnage Deuce-Alpha (sûrement une cousine d’Arley Quinn), qu’il a su rendre très intéressante graphiquement.
En conclusion, jamais on ressent l’envie de s’arrêter dans sa lecture, car les cliffanghers sont bien pensés et les dessins portent efficacement ce récit vraiment original !
L’Homme-libellule et son partenaire Dard vivent une vie d’aventures hautes en couleurs, où ils aident la police et arrêtent les méchants sans trop de problème. Sur une autre Terre, L’Homme-libellule pourchasse les criminels déviants les plus violents et les forces de l’ordre corrompues. Soudainement ces deux héros intervertissent leurs places et passent dans un univers qu’ils ne maîtrisent pas. Accrochez-vous, ça va décoiffer !
Et c’est tout l’intérêt de ce récit, cette fausse dualité entre ces 2 univers…
L’un plutôt classique dans le comics où le gentil gagne souvent, sans tuer ces adversaires, juste les blesser un peu pour qu’ils aillent en prison. Tout le monde il est content, les méchants sont presque contents de se faire taper par le super héros. Mais à la page 20, virage à 90°, avec l’arrivée du même héros dans ce monde édulcoré, que l’on a l’habitude de voir dans plusieurs comics de super héros. Et évidemment le héros aux belles intentions, se retrouve lui dans un univers bien plus vivant, et bien plus proche de la réalité quotidienne vécue dans la vrai vie !
Je trouve d’ailleurs très intéressant de suivre l’adaptation dans ces univers inconnus de ces deux Hommes-Libellule. Bravo à Tom Peyer pour ce scénario sans concession. Il s’amuse avec les relations ou les sentiments de ces personnages, cela donne évidemment des scènes cocasses ou dramatiques, comme Dard (l’acolyte de L’homme-Libellule, tel Robin pour Batman) qui lance au double de l’Lomme Libellule : « Nous sommes coincés avec toi, sale tueur ! ».
Bref du bon comics, au genre renouvelé, comme Deadpool avait pu le faire ou certains Spiderman avec son costume noir…
Côté dessin, c’est du costaud. Belle justesse de trait, assez classique, mais efficace, avec une mise en page de Jamal Igle qui permet d’insuffler un dynamisme de lecture page après page. Mention spéciale pour son personnage Deuce-Alpha (sûrement une cousine d’Arley Quinn), qu’il a su rendre très intéressante graphiquement.
En conclusion, jamais on ressent l’envie de s’arrêter dans sa lecture, car les cliffanghers sont bien pensés et les dessins portent efficacement ce récit vraiment original !
LAURENT
Chroniqueur
La Bande Du 9
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