La Venin T04
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Tome 04 - CIEL D'ETHER
Scénario : Laurent ASTIER
Dessin : Laurent ASTIER
Couleur : Stéphane ASTIER
Editions : RUE DE SEVRES
C’est New York qui va abriter ce quatrième volet de « La Venin ». La vengeance d’Emily prend maintenant une autre tournure avec l’apparition de nouveaux sentiments. Un scénario encore une fois habilement mené par un Laurent Astier qui ne cesse de nous étonner.
Emily est maintenant à New York, elle a décroché un job de danseuse de revue dans un casino chic. Son patron fait travailler les filles durement car la première a lieu dans 15 jours. Son mauvais caractère exacerbe Emily qui veut tout plaquer. Mais la finalité pour Emily n’est pas de finir star des planches mais de retrouver sa cible en l’attirant au spectacle. Pendant ce temps à quelques pas de là, les hommes de la Pinkerton se font tailler sur mesure un costume pour mieux faire couleur locale. Les jours passent et le grand soir arrive, tout le gratin de New York se donne rendez-vous pour assister à cette nouvelle représentation qui positionne Emily en star. Sa cible est confortablement installée devant la scène. Elle va tomber inévitablement sous le charme d’Emily et demander une entrevue avec la star. Comme prévu par Emily, le piège va se refermer et elle va pouvoir se venger mais un imprévu va venir contrecarrer son plan si parfait.
Cela fait maintenant 4 tomes que nous suivons le parcours de la vengeance d’Emily et une question se pose : ce 4ème tome va-t-il être différent des autres ou bien va-t-on assister de nouveau à une traque mortelle ? Les premières planches nous confortent dans le fait d’être dans un autre environnement puisque c’est un New York de 1900 qui abritera l’histoire. Ce choix va permettre à l’auteur Laurent Astier de nous faire faire un peu de tourisme et d’enrichir notre culture personnelle.
A ce sujet, l’auteur n’est pas avare pour nous faire prendre quelques cours d’histoire. Dans les tomes précédents, il avait abordé des sujets tels que les villes pétrolières, le KKK ou encore sa vision du Far West. Ici c’est un sujet plutôt inattendu qui est abordé à savoir l’homosexualité féminine à NY en 1900.
L’auteur va alterner dans cet album, encore plus que d’habitude, différents flash-back entre le présent et le passé de la jeunesse d’Emily, pour nous livrer encore plus d’éléments sur le fil rouge de cette aventure qui se terminera dans le prochain tome. Dans le tome trois, on apprenait que visiblement sa mère ne serait pas morte mais où se cache-t-elle et pourquoi toute cette mise en scène ?
Graphiquement, Laurent Astier est au top, les planches sont détaillées, fournies, le niveau graphique de cette série est impressionnant.
L’auteur sait maintenant allier parfaitement un scénario habile et un graphisme époustouflant. Le dernier tome de cette série est annoncé pour la fin d’année.
Emily est maintenant à New York, elle a décroché un job de danseuse de revue dans un casino chic. Son patron fait travailler les filles durement car la première a lieu dans 15 jours. Son mauvais caractère exacerbe Emily qui veut tout plaquer. Mais la finalité pour Emily n’est pas de finir star des planches mais de retrouver sa cible en l’attirant au spectacle. Pendant ce temps à quelques pas de là, les hommes de la Pinkerton se font tailler sur mesure un costume pour mieux faire couleur locale. Les jours passent et le grand soir arrive, tout le gratin de New York se donne rendez-vous pour assister à cette nouvelle représentation qui positionne Emily en star. Sa cible est confortablement installée devant la scène. Elle va tomber inévitablement sous le charme d’Emily et demander une entrevue avec la star. Comme prévu par Emily, le piège va se refermer et elle va pouvoir se venger mais un imprévu va venir contrecarrer son plan si parfait.
Cela fait maintenant 4 tomes que nous suivons le parcours de la vengeance d’Emily et une question se pose : ce 4ème tome va-t-il être différent des autres ou bien va-t-on assister de nouveau à une traque mortelle ? Les premières planches nous confortent dans le fait d’être dans un autre environnement puisque c’est un New York de 1900 qui abritera l’histoire. Ce choix va permettre à l’auteur Laurent Astier de nous faire faire un peu de tourisme et d’enrichir notre culture personnelle.
A ce sujet, l’auteur n’est pas avare pour nous faire prendre quelques cours d’histoire. Dans les tomes précédents, il avait abordé des sujets tels que les villes pétrolières, le KKK ou encore sa vision du Far West. Ici c’est un sujet plutôt inattendu qui est abordé à savoir l’homosexualité féminine à NY en 1900.
L’auteur va alterner dans cet album, encore plus que d’habitude, différents flash-back entre le présent et le passé de la jeunesse d’Emily, pour nous livrer encore plus d’éléments sur le fil rouge de cette aventure qui se terminera dans le prochain tome. Dans le tome trois, on apprenait que visiblement sa mère ne serait pas morte mais où se cache-t-elle et pourquoi toute cette mise en scène ?
Graphiquement, Laurent Astier est au top, les planches sont détaillées, fournies, le niveau graphique de cette série est impressionnant.
L’auteur sait maintenant allier parfaitement un scénario habile et un graphisme époustouflant. Le dernier tome de cette série est annoncé pour la fin d’année.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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