Le pré derrière l'église
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Tome 02 - MISS KELLY PENNY
Tome 02 - MISS KELLY PENNY
Scénario : Crisse
Dessin : Paty
Couleurs : Paty
Editions : Soleil
L’arrivée d’une nouvelle personne dans le village de Kilkenny va venir perturber la quiétude de ses habitants. Une belle occasion pour le Duo Crisse–Paty de démontrer la bêtise humaine. Quant aux animaux et plus particulièrement chez les moutons, les réflexions sont beaucoup plus terre à terre pour notre plus grand plaisir.
Le village de Kilkenny s’apprête à fêter Noël. Pour l’occasion, une crèche vivante et ses animaux de la ferme ont pris place à côté de l’église. Le curé est impatient de voir tout le monde à la messe de minuit. En attendant cette dernière, Brendan le berger vient déposer dans la crèche le petit dernier à savoir l’agneau Padraig. Il est l’heure de la messe et à l’issue de la cérémonie, le prêtre présente à l’assistance la nouvelle institutrice du village venue de Dublin. Sa beauté et sa jeunesse rendent fous les hommes mais ont le don d’irriter les femmes du village. Cette nouvelle arrivée semble perturber l’équilibre du village.
On avait été marqué par la beauté du trait graphique de Christian Paty pour le tome 1, il en est de même pour ce second volet intitulé « Miss Kelly Penny ». Grâce à des personnages caricaturaux aussi bien humains qu’animaliers et à leurs expressions, le récit prend du rythme, de l’intrigue et du suspense, sa mise en couleur directe est un régal.
Mais revenons à l’histoire car même si le dessin est la grande force de cette série, il reste l’histoire. L’action se situe au même endroit que dans le premier tome. On y retrouve l’écureuil et le vieux hibou Sir Doyle et notre troupeau de moutons avec un zoom sur l’agneau qui joue un rôle important au casting. On retrouve également les ingrédients tels que la satire, l’hypocrisie, la bêtise, qui permettent de construire de nouveau une fable à la Jean de la Fontaine.
Le scénario n’a rien d’exceptionnel, il est plaisant, l’auteur Didier Crisse s’est visiblement attaché à montrer les travers de notre société sur le fait d’intégrer une nouvelle personne venue de nulle part. Si tel était le cas, le pari est réussi. L’humour est également très présent surtout chez les ovins qui ne peuvent s’empêcher d’avoir des questions métaphysiques.
Un moment agréable passé en compagnie de ce deuxième volet même si on pourrait regretter qu’il manque un peu de consistance.
Le village de Kilkenny s’apprête à fêter Noël. Pour l’occasion, une crèche vivante et ses animaux de la ferme ont pris place à côté de l’église. Le curé est impatient de voir tout le monde à la messe de minuit. En attendant cette dernière, Brendan le berger vient déposer dans la crèche le petit dernier à savoir l’agneau Padraig. Il est l’heure de la messe et à l’issue de la cérémonie, le prêtre présente à l’assistance la nouvelle institutrice du village venue de Dublin. Sa beauté et sa jeunesse rendent fous les hommes mais ont le don d’irriter les femmes du village. Cette nouvelle arrivée semble perturber l’équilibre du village.
On avait été marqué par la beauté du trait graphique de Christian Paty pour le tome 1, il en est de même pour ce second volet intitulé « Miss Kelly Penny ». Grâce à des personnages caricaturaux aussi bien humains qu’animaliers et à leurs expressions, le récit prend du rythme, de l’intrigue et du suspense, sa mise en couleur directe est un régal.
Mais revenons à l’histoire car même si le dessin est la grande force de cette série, il reste l’histoire. L’action se situe au même endroit que dans le premier tome. On y retrouve l’écureuil et le vieux hibou Sir Doyle et notre troupeau de moutons avec un zoom sur l’agneau qui joue un rôle important au casting. On retrouve également les ingrédients tels que la satire, l’hypocrisie, la bêtise, qui permettent de construire de nouveau une fable à la Jean de la Fontaine.
Le scénario n’a rien d’exceptionnel, il est plaisant, l’auteur Didier Crisse s’est visiblement attaché à montrer les travers de notre société sur le fait d’intégrer une nouvelle personne venue de nulle part. Si tel était le cas, le pari est réussi. L’humour est également très présent surtout chez les ovins qui ne peuvent s’empêcher d’avoir des questions métaphysiques.
Un moment agréable passé en compagnie de ce deuxième volet même si on pourrait regretter qu’il manque un peu de consistance.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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