Les Antres Tome 1 : L'homme sans poids
Acheter sur BD FugueLes Antres – Tome 1 : L’homme sans poids
Scénario, dessin et couleur : Éric PUYBARET
Éditions : Delcourt
Ce premier volume s’ouvre sur un marin qui est chargé de faire traverser celui qui est l’homme sans poids, et qui vole au gré des coups de vent.
L’onirisme de cette bande-dessinée charme esthétiquement, et nous invite à vivre comme le protagoniste qui se découvre à la fois mort mais aussi comme n’ayant pas eu d’existence. Effectivement, celui qui est appelé l’homme sans poids, Anton ROSE, va rencontrer dans sa katabase des personnages à la fois fantasmagoriques et réels comme les frères Montgolfier ou Napoléon alias Premier qui vont le révéler à lui-même tout en soulevant de nouvelles questions sur sa vie. Son pèlerinage le conduira alors à une quête identitaire pour sauver sa vie et sa mort, rejoignant les questions existentielles auxquelles nous confronte cette bande-dessinée.
La beauté des planches est une caractéristique essentielle de l’œuvre tout comme la riche intertextualité. Effectivement, de nombreuses références parsèment l’œuvre comme l’Achéron ou les Parques qui peuvent réjouir le lectorat éclairé. Toutefois, on pourra regretter que ces nombreuses références ou clins d’œil paraissent parfois opaques pour le jeune public qui se lancerait dans cette lecture.
Il y a fort à parier que le deuxième volume apportera des éclaircissements aux mystères entourant le protagoniste.
Lydie et Nicolas

L’onirisme de cette bande-dessinée charme esthétiquement, et nous invite à vivre comme le protagoniste qui se découvre à la fois mort mais aussi comme n’ayant pas eu d’existence. Effectivement, celui qui est appelé l’homme sans poids, Anton ROSE, va rencontrer dans sa katabase des personnages à la fois fantasmagoriques et réels comme les frères Montgolfier ou Napoléon alias Premier qui vont le révéler à lui-même tout en soulevant de nouvelles questions sur sa vie. Son pèlerinage le conduira alors à une quête identitaire pour sauver sa vie et sa mort, rejoignant les questions existentielles auxquelles nous confronte cette bande-dessinée.

La beauté des planches est une caractéristique essentielle de l’œuvre tout comme la riche intertextualité. Effectivement, de nombreuses références parsèment l’œuvre comme l’Achéron ou les Parques qui peuvent réjouir le lectorat éclairé. Toutefois, on pourra regretter que ces nombreuses références ou clins d’œil paraissent parfois opaques pour le jeune public qui se lancerait dans cette lecture.

Lydie et Nicolas
Nicolas
Chroniqueur
La Bande Du 9
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