Les métamorphoses Tome 3
Acheter sur BD FugueLES METAMORPHOSES 1858
Tome 2 - DINOCAMPUS COCCINELLAE
Scénario : Alexie Durand
Dessin et Couleur : Sylvain Ferret
Editions : Delcourt
Une suite pas toujours simple à comprendre mais graphiquement intéressante à regarder.
Stanislas et Joseph, désormais accompagnés d’une équipe prête à en découdre, s’envolent à bord d’un dirigeable.
Direction Barcelone, sur la trace du mystérieux Architecte. Pour l’avoir déjà affronté deux fois, ils savent à présent que leur ennemi n’hésitera pas un seul instant à les éliminer. Mais comment faire front lorsque la révélation d’un ancien secret réveille de vieilles rancunes et met à mal la confiance entre les deux amis d’enfance ?
Le premier tome de la série Les métamorphoses avait été une véritable surprise voir un choc tellement le concept du découpage et l’ambiance étaient originaux. Pour ce deuxième tome, visiblement les auteurs n’ont pas su s’arrêter à temps dans leur délire métamorphique. On perd rapidement le fil du récit, le lecteur aura du mal à retrouver ses repères et on finit rapidement par ne plus que regarder les images, ce qui dessert la série et va la mettre en danger.
Le dessin de Ferret relève heureusement le niveau, il reste attractif, détaillé et offre de belles perspectives même s’il est parfois chargé. Espérons que le troisième volet qui viendra clore l’histoire nous propose une autre dimension et un lien compréhensible pour unifier le tout.
Stanislas et Joseph, désormais accompagnés d’une équipe prête à en découdre, s’envolent à bord d’un dirigeable.
Direction Barcelone, sur la trace du mystérieux Architecte. Pour l’avoir déjà affronté deux fois, ils savent à présent que leur ennemi n’hésitera pas un seul instant à les éliminer. Mais comment faire front lorsque la révélation d’un ancien secret réveille de vieilles rancunes et met à mal la confiance entre les deux amis d’enfance ?
Le premier tome de la série Les métamorphoses avait été une véritable surprise voir un choc tellement le concept du découpage et l’ambiance étaient originaux. Pour ce deuxième tome, visiblement les auteurs n’ont pas su s’arrêter à temps dans leur délire métamorphique. On perd rapidement le fil du récit, le lecteur aura du mal à retrouver ses repères et on finit rapidement par ne plus que regarder les images, ce qui dessert la série et va la mettre en danger.
Le dessin de Ferret relève heureusement le niveau, il reste attractif, détaillé et offre de belles perspectives même s’il est parfois chargé. Espérons que le troisième volet qui viendra clore l’histoire nous propose une autre dimension et un lien compréhensible pour unifier le tout.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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