Lonesome T03
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T03 - Les liens du sang
Scénario : Yves SWOLFS
Dessin : Yves SWOLFS
Couleurs Julie SWOLFS
Editions : LE LOMBARD
C’est à New York que le héros solitaire pense trouver la clef de ses énigmes. Mais la vie dans le monde moderne risque fortement de le perturber. Un western mouvementé, habilement maîtrisé par Yves Swolfs.
A peine arrivé à New York, le « cowboy solitaire » se fait interpeller dès sa descente de train. Habitué des grandes plaines, notre ami ne connait pas les règles des grandes villes notamment celle de ne pas avoir le droit de porter une arme sur soi. C’est très logiquement qu’il va se retrouver au commissariat et va se voir confisquer son fusil. Trois jours plus tôt, c’est une autre histoire qui s’est déroulée en pleine rue, Miss Lyle accompagnée de ses hommes et de la police sont venus à la rescousse d’un jeune journaliste après une effroyable course poursuite et une déferlante de violence. Quant à notre cowboy, c’est du côté de Wall Street qu’il va tenter de retrouver le sénateur Dawson qui serait à l’origine de la mort de sa mère.
Petit à petit, le personnage principal de cette série initiée par Yves Swolfs remonte le temps et découvre des indices sur son passé. Yves Swolfs est devenu un maître en la matière, c’est un scénariste précis qui n’hésite pas à jouer avec le temps, les personnages et les flash-back. En connaissance de cause, cela permet encore mieux de savourer l’histoire de « Lonesome ». Sur fond d’abolition de l’esclavage, cette série permet au-delà de la violence et des coups de feu, de se plonger dans l’histoire américaine et de découvrir tous les enjeux économiques et politiques qui sont les prémices de l’organisation actuelle des Etats-Unis.
Graphiquement, Yves Swolfs est toujours aussi impressionnant. Fan de son trait depuis Durango en passant par le Prince de la nuit, cet artiste maîtrise à la perfection les gestuelles et expressions physiques de ses personnages et n’hésite pas à proposer une multitude de gros plans pour intensifier les rendus. Les couleurs sont assurées par Julie Swolfs qui apporte une chaleur supplémentaire pour accompagner des scènes plus que dynamiques.
A peine arrivé à New York, le « cowboy solitaire » se fait interpeller dès sa descente de train. Habitué des grandes plaines, notre ami ne connait pas les règles des grandes villes notamment celle de ne pas avoir le droit de porter une arme sur soi. C’est très logiquement qu’il va se retrouver au commissariat et va se voir confisquer son fusil. Trois jours plus tôt, c’est une autre histoire qui s’est déroulée en pleine rue, Miss Lyle accompagnée de ses hommes et de la police sont venus à la rescousse d’un jeune journaliste après une effroyable course poursuite et une déferlante de violence. Quant à notre cowboy, c’est du côté de Wall Street qu’il va tenter de retrouver le sénateur Dawson qui serait à l’origine de la mort de sa mère.
Petit à petit, le personnage principal de cette série initiée par Yves Swolfs remonte le temps et découvre des indices sur son passé. Yves Swolfs est devenu un maître en la matière, c’est un scénariste précis qui n’hésite pas à jouer avec le temps, les personnages et les flash-back. En connaissance de cause, cela permet encore mieux de savourer l’histoire de « Lonesome ». Sur fond d’abolition de l’esclavage, cette série permet au-delà de la violence et des coups de feu, de se plonger dans l’histoire américaine et de découvrir tous les enjeux économiques et politiques qui sont les prémices de l’organisation actuelle des Etats-Unis.
Graphiquement, Yves Swolfs est toujours aussi impressionnant. Fan de son trait depuis Durango en passant par le Prince de la nuit, cet artiste maîtrise à la perfection les gestuelles et expressions physiques de ses personnages et n’hésite pas à proposer une multitude de gros plans pour intensifier les rendus. Les couleurs sont assurées par Julie Swolfs qui apporte une chaleur supplémentaire pour accompagner des scènes plus que dynamiques.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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