Rock and Roll Comics
Acheter sur BD FugueRock and Roll Comics
Scénario : Bruno Blum
Dessins : Bruno Blum
Couleurs : Bruno Blum
Éditions : Tartamudo
Chroniqueur à Best, bassiste à Privates Vices et dessinateur de BD, Bruno Blum raconte ses années londoniennes à une époque clé du classic rock. Plus qu'un roman (autobio) graphique, Rock and Roll Comics est un véritable témoignage d'une époque éprise de liberté.
Dans cet OVNI se situant quelque part entre un album de bande-dessinée, un roman graphique et un album de photos, Bruno Blum donne au lecteur sa vision des années 70-80 du point de vue du Rock. De Paris mais surtout à Londres, ce touche-à-tout correspondant du mensuel Best a voyagé dans les entrailles de son genre musical et en a fait un mode de vie.
Par ce qu'il vivait comme un crève la dalle dans une piaule d'étudiant, fréquentant les milieux des illustrateurs et des musiciens, il pu faire découvrir grâce à ses chroniques des nouveaux groupes, célèbres encore aujourd'hui comme Motörhead et les Sex Pistols. De ses expériences et de la manière de les vivre, il a gardé un point de vue personnel se retranscrivant en texte mais aussi en dessin.
Le lecteur ira de surprises en surprises en découvrant sur tout un chapitre une bande-dessinée scénarisée et/ou dessinée par l'auteur : d'un univers futuriste mettant en scène Motörhead à un autre plus épuré narrant l'histoire de Madness. Bande-dessinée, musique en tant que chroniqueur et bassiste à Private Vices, toutes les influences de Bruno Blum y passent.
Le lecteur novice en matière de culture rock se sentira "tout petit" face à cette avalanche de couleurs et de noms de groupe tout aussi légendaires les uns que les autres. Il lui serait conseillé d'aborder l'ouvrage par la fin, c'est-à-dire à partir du chapitre onze. Bruno Blum y présente dans une chronique et en photos ses aventures musicales des décennies 70-80. Une bibliographie ainsi qu'une discographie le concluent très bien. L'occasion pour les débutants-curieux de découvrir des standards de la culture rock, punk ou reggae mais pas que. Le passionné quant à lui profitera peut-être plus facilement de l'album, notamment à partir du chapitre deux.
Il sera en tout cas conseillé de prendre l'album "comme il vient" et ne pas s'attendre à quelque chose de précis. Sans faire une fausse comparaison avec Alejandro Jodorowsky, Bruno Blum est un personnage qui a touché à beaucoup de choses et a voulu les condensées ici. C'est d'ailleurs l'objectif de l'album, raconter une bonne fois pour toutes ses années de journaliste à Best et se revendiquer en dessinateur de bande-dessinée.
Ni une BD, ni un roman graphique, cet album autobiographique se fiche littéralement des conventions. Et ça fait du bien.

Dans cet OVNI se situant quelque part entre un album de bande-dessinée, un roman graphique et un album de photos, Bruno Blum donne au lecteur sa vision des années 70-80 du point de vue du Rock. De Paris mais surtout à Londres, ce touche-à-tout correspondant du mensuel Best a voyagé dans les entrailles de son genre musical et en a fait un mode de vie.
Par ce qu'il vivait comme un crève la dalle dans une piaule d'étudiant, fréquentant les milieux des illustrateurs et des musiciens, il pu faire découvrir grâce à ses chroniques des nouveaux groupes, célèbres encore aujourd'hui comme Motörhead et les Sex Pistols. De ses expériences et de la manière de les vivre, il a gardé un point de vue personnel se retranscrivant en texte mais aussi en dessin.

Le lecteur ira de surprises en surprises en découvrant sur tout un chapitre une bande-dessinée scénarisée et/ou dessinée par l'auteur : d'un univers futuriste mettant en scène Motörhead à un autre plus épuré narrant l'histoire de Madness. Bande-dessinée, musique en tant que chroniqueur et bassiste à Private Vices, toutes les influences de Bruno Blum y passent.

Le lecteur novice en matière de culture rock se sentira "tout petit" face à cette avalanche de couleurs et de noms de groupe tout aussi légendaires les uns que les autres. Il lui serait conseillé d'aborder l'ouvrage par la fin, c'est-à-dire à partir du chapitre onze. Bruno Blum y présente dans une chronique et en photos ses aventures musicales des décennies 70-80. Une bibliographie ainsi qu'une discographie le concluent très bien. L'occasion pour les débutants-curieux de découvrir des standards de la culture rock, punk ou reggae mais pas que. Le passionné quant à lui profitera peut-être plus facilement de l'album, notamment à partir du chapitre deux.

Il sera en tout cas conseillé de prendre l'album "comme il vient" et ne pas s'attendre à quelque chose de précis. Sans faire une fausse comparaison avec Alejandro Jodorowsky, Bruno Blum est un personnage qui a touché à beaucoup de choses et a voulu les condensées ici. C'est d'ailleurs l'objectif de l'album, raconter une bonne fois pour toutes ses années de journaliste à Best et se revendiquer en dessinateur de bande-dessinée.
Ni une BD, ni un roman graphique, cet album autobiographique se fiche littéralement des conventions. Et ça fait du bien.
Philippe
Chroniqueur
La Bande Du 9
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