SAN ANTONIO T02
Acheter sur BD FugueSAN ANTONIO
Tome 2 - SI MA TANTE EN AVAIT
Scénario et dessin : MICHAEL SANLAVILLE
Edition : CASTERMAN
Ploumanac’h Vermoh, paisible village du fin fond des Côtes d’Armor, avec sa pluie, son bistrot, son phare et son nouveau chef de police, le commissaire Antoine San-Antonio dit Sana. Muté avec toute son équipe, dont l’inénarrable Bérurier, depuis leur précédente aventure, il s'ennuie à mourir... mais le meurtre du commandant du chalutier « La Môme crevette » Jean-Yves Katkarre, vient le sortir de sa torpeur quotidienne. Dès lors l’enquête va mener San-Antonio et son équipe sur les pistes d’une organisation secrète terroriste, où ils vont côtoyer un cargo russe à la cargaison douteuse, une veuve nympho, des agents un peu spéciaux, des ivrognes et surtout une vieille connaissance en la personne du sous-préfet. Les morts et les explosions se succèdent, mais Sana va-t-il résoudre cette enquête dans une ambiance humide et bretonnisante ?
Dans ce second tome des aventures du commissaire San-Antonio sous la direction de Michaël Sanlaville, on retrouve tout ce qui a fait la saveur des polars de Frédéric Dard, la désinvolture du héros-narrateur, le recours à l’humour et l’emploi de l’argot. Un véritable dictionnaire d'argot, une bible d'expressions et de jeux de mots, pour une BD qui pour passer distrayante n'en reste pas difficile à saisir. En effet, ce flot lexicologique peut rendre difficile la lecture de l’histoire et il faut parfois s’armer d’un peu de patience pour se familiariser avec le langage qui peut décontenancer certains lecteurs. Humour franchouillard, grivoiserie et affaire d’espionnage sont les maîtres-mots de cette histoire qui ravira les amateurs du genre.
Hervé
Chroniqueur
La Bande Du 9
Dans ce second tome des aventures du commissaire San-Antonio sous la direction de Michaël Sanlaville, on retrouve tout ce qui a fait la saveur des polars de Frédéric Dard, la désinvolture du héros-narrateur, le recours à l’humour et l’emploi de l’argot. Un véritable dictionnaire d'argot, une bible d'expressions et de jeux de mots, pour une BD qui pour passer distrayante n'en reste pas difficile à saisir. En effet, ce flot lexicologique peut rendre difficile la lecture de l’histoire et il faut parfois s’armer d’un peu de patience pour se familiariser avec le langage qui peut décontenancer certains lecteurs. Humour franchouillard, grivoiserie et affaire d’espionnage sont les maîtres-mots de cette histoire qui ravira les amateurs du genre.
Hervé
Chroniqueur
La Bande Du 9
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