Terres d'Ogon T01
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T01 - ZUL KASSAI
T01 - ZUL KASSAI
Scénario : JL ISTIN
Dessin : K DUARTE
Couleur : J NANJAN
Editions : SOLEIL
« Les terres d’Ogon », nouveau continent imaginé par Jean-Luc Istin dans le monde d’Aquilon. Le premier peuple à découvrir est celui des Zul Kassai, des dieux rouges qui vont être sensibilisés par les mésaventures du jeune Ubu de la tribu des Kulu. Une nouvelle aventure qui peut se lire individuellement et qui fera tomber sous le charme tous les amateurs de Fantasy.
Dans la province de Kamina, le froid s’est installé, la neige a recouvert le sol, mais cela n’empêche pas une famille venant de la tribu de Kulu de partager un bon repas autour du feu. Tous les membres de la famille sont présents, le père, la mère, leurs enfants et leurs ainés. La joie et l’harmonie règnent dans cette famille et en règle générale dans cette tribu. Mais le grand sujet de conversation est l’évènement qui aura lieu demain avec le rituel que va passer Kaba l’un des enfants, celui d’être reconnu comme un vrai guerrier et d’obtenir des cornes qu’il conservera toute sa vie et qu’il pourra transmettre de génération en génération. Cette effervescence, cette joie communicative fait monter les décibels et n’est pas sans risques. Au bout de quelques minutes un groupe de gorilles au regard menaçant appartenant à la tribu des Tog sort du bois pour venir à leur rencontre. Aggor leur chef n’est pas là pour parlementer ou lier discussion. Il est là pour chasser, tuer, anéantir et cela pour son simple plaisir. Il va s’en suivre un véritable massacre. La famille Kulu malgré son courage ne peut échapper à ce déferlement de violence. Un par un, ils tombent sous les coups d’épée d’Aggor et ses complices. Les enfants fuient, parmi eux Ubu, 14 ans, et son petit frère qui n’est alors qu’un bébé. Mais malgré leur âge et leur agilité, les enfants sont destinés au même sort que leurs ainés. Ubu réussira par un concours de circonstances à se jeter dans le fleuve glacé pour échapper à la sentence ultime. Son petit frère sera emmené tel un trophée. Ubu échappe pour le moment à la mort, il n’a plus qu’un objectif en tête, partir vers le nord des terres d’Ogon pour rejoindre le volcan Karakenn où vivent les dieux rouges Zul Kassai pour invoquer leur aide afin de venger sa famille.
Le monde d’Aquilon semble de pas avoir dévoilé encore toutes ses limites et ses terres. Après avoir été envoûté par les terres d’Arran à travers ses 77 albums publiés à ce jour autour des peuples Elfes, Nains, Mages, Orcs & Gobelins, le génie de Jean-Luc Istin nous entraîne à la découverte d’une nouvelle terre, les terres d’Ogon.
Ce nouveau continent par l’intermédiaire de son créateur annonce déjà 4 peuples différents. Ce premier volet est consacré aux Zul Kassaï, sorte d’elfes rouges quasiment immortels et possédant des techniques de combat inégalées. Les références à l’Afrique et à son mode de vie sont la toile de fond de cette partie des terres d’Ogon mais cela semble également le cas pour les autres peuples que nous découvrirons plus tard. Pour le moment dans cette partie de terre, se côtoient humains, elfes, gorilles ou encore centaures.
Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, les auteurs ne sont pas tombés dans la facilité de faire sans cesse référence aux terres d’Arran pour construire cette histoire. Cela a toujours été une grande force de cette collection, pouvoir lire indépendamment chaque histoire et vivre un bon moment. C’est une nouvelle fois le cas, l’histoire d’Ubu est construite de manière à vivre une véritable aventure où le lecteur va être embarqué dans une quête de vengeance. Le jeune Ubu va trouver comme alliés pas moins de 6 Zul Kassai aux caractéristiques différentes et identifiables qui vont être sensibilisés par l’histoire d’Ubu et qui vont décider de lui venir en aide. Il va s’en suivre toute une série de planches à suspense, violentes, sanglantes mais aussi attendrissantes.
Le dessin de ce premier volet est confié à Kyko Duarte qui est époustouflant, dans le détail et la précision, utilise à merveille les caractéristiques individuelles des Zul Kassai mais aussi des gorilles pour les rendre clairement identifiables notamment lors des scènes de combat, ce qui est fortement appréciable.
Il reste maintenant à découvrir les autres peuples dont le volet suivant « Blancs Visages » paraîtra en début 2023.
Dans la province de Kamina, le froid s’est installé, la neige a recouvert le sol, mais cela n’empêche pas une famille venant de la tribu de Kulu de partager un bon repas autour du feu. Tous les membres de la famille sont présents, le père, la mère, leurs enfants et leurs ainés. La joie et l’harmonie règnent dans cette famille et en règle générale dans cette tribu. Mais le grand sujet de conversation est l’évènement qui aura lieu demain avec le rituel que va passer Kaba l’un des enfants, celui d’être reconnu comme un vrai guerrier et d’obtenir des cornes qu’il conservera toute sa vie et qu’il pourra transmettre de génération en génération. Cette effervescence, cette joie communicative fait monter les décibels et n’est pas sans risques. Au bout de quelques minutes un groupe de gorilles au regard menaçant appartenant à la tribu des Tog sort du bois pour venir à leur rencontre. Aggor leur chef n’est pas là pour parlementer ou lier discussion. Il est là pour chasser, tuer, anéantir et cela pour son simple plaisir. Il va s’en suivre un véritable massacre. La famille Kulu malgré son courage ne peut échapper à ce déferlement de violence. Un par un, ils tombent sous les coups d’épée d’Aggor et ses complices. Les enfants fuient, parmi eux Ubu, 14 ans, et son petit frère qui n’est alors qu’un bébé. Mais malgré leur âge et leur agilité, les enfants sont destinés au même sort que leurs ainés. Ubu réussira par un concours de circonstances à se jeter dans le fleuve glacé pour échapper à la sentence ultime. Son petit frère sera emmené tel un trophée. Ubu échappe pour le moment à la mort, il n’a plus qu’un objectif en tête, partir vers le nord des terres d’Ogon pour rejoindre le volcan Karakenn où vivent les dieux rouges Zul Kassai pour invoquer leur aide afin de venger sa famille.
Le monde d’Aquilon semble de pas avoir dévoilé encore toutes ses limites et ses terres. Après avoir été envoûté par les terres d’Arran à travers ses 77 albums publiés à ce jour autour des peuples Elfes, Nains, Mages, Orcs & Gobelins, le génie de Jean-Luc Istin nous entraîne à la découverte d’une nouvelle terre, les terres d’Ogon.
Ce nouveau continent par l’intermédiaire de son créateur annonce déjà 4 peuples différents. Ce premier volet est consacré aux Zul Kassaï, sorte d’elfes rouges quasiment immortels et possédant des techniques de combat inégalées. Les références à l’Afrique et à son mode de vie sont la toile de fond de cette partie des terres d’Ogon mais cela semble également le cas pour les autres peuples que nous découvrirons plus tard. Pour le moment dans cette partie de terre, se côtoient humains, elfes, gorilles ou encore centaures.
Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, les auteurs ne sont pas tombés dans la facilité de faire sans cesse référence aux terres d’Arran pour construire cette histoire. Cela a toujours été une grande force de cette collection, pouvoir lire indépendamment chaque histoire et vivre un bon moment. C’est une nouvelle fois le cas, l’histoire d’Ubu est construite de manière à vivre une véritable aventure où le lecteur va être embarqué dans une quête de vengeance. Le jeune Ubu va trouver comme alliés pas moins de 6 Zul Kassai aux caractéristiques différentes et identifiables qui vont être sensibilisés par l’histoire d’Ubu et qui vont décider de lui venir en aide. Il va s’en suivre toute une série de planches à suspense, violentes, sanglantes mais aussi attendrissantes.
Le dessin de ce premier volet est confié à Kyko Duarte qui est époustouflant, dans le détail et la précision, utilise à merveille les caractéristiques individuelles des Zul Kassai mais aussi des gorilles pour les rendre clairement identifiables notamment lors des scènes de combat, ce qui est fortement appréciable.
Il reste maintenant à découvrir les autres peuples dont le volet suivant « Blancs Visages » paraîtra en début 2023.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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