Tizombi tome 4
Acheter sur BD FugueTIZOMBI
Tome 4 - MONDES CRUELS
Scénario : CAZENOVE
Dessins : WILLIAM
Couleurs : Elodie JACQUEMOIRE
Editions : BAMBOO
La vie dans un cimetière n’est finalement pas si calme que cela. Tizombi et Margotik vont devoir faire face pour la première fois à une menace extérieure. Une nouvelle fois, Cazenove et William ont su nous étonner en diversifiant leur approche pour rendre la série Tizombi à la fois graphiquement agréable mais également surprenante par la mise en place d’un fil rouge, une histoire sur 56 pages.
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Margotik ne se sent plus en sécurité dans le cimetière, les zombies qui l’entourent sont de plus en plus insistants à vouloir la croquer. Tizombi la rassure et lui trouve de nouveaux gardes du corps qui ne semblent pas la rassurer pour autant. Fatal de son côté cherche entre deux repas à trouver une solution pour enterrer encore plus profondément les cadavres les plus récalcitrants. Tékaté s’adonne à des puzzles en 3D quant à Tizombi, il reste introuvable. Cela commence à devenir inquiétant, d’autant que cela n’est pas son genre de disparaître ainsi. Margotik et Fatal partent à sa recherche, c’est le début d’une grande quête dont Tizombi semble avoir les clefs.
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Quatrième aventure et on ne s’en lasse pas. Les raisons sont simples, c’est drôle, décalé et chaque tranche d’âge y trouve son compte. Il n’est pas simple pour les auteurs dans ce type de formule de « gags en une planche » d’arriver à se renouveler sans tomber dans la routine. Pour le moment Cazenove et William réussissent à nous étonner.
Ce quatrième volet prend ainsi un autre tournant. On retrouve toujours notre quatuor principal, Tizombi, Margotik, Tékaté, Fatal et leurs gags plus gores les uns que les autres mais cette fois-ci, il y a un véritable fil rouge autour de Tizombi. Une vraie aventure à laquelle vont participer les protagonistes, laissant échapper des ingrédients encore non exploités par cette série tels que du suspense et des intrigues.
Tizombi n’est donc pas que destiné à un jeune public connaissant ses premiers émois et souhaitant se faire peur, les adultes peuvent aussi y trouver leur compte. D’autant que Cazenove et William prennent un malin plaisir à semer des allusions, anecdotes à destination des plus grands en faisant référence à des classiques cinématographiques et littéraires du monde de l'épouvante et de l’horreur.
Petit clin d’œil aux couleurs d’Elodie Jacquemoire, que j’apprécie particulièrement, qui viennent sublimer le travail de William et donner encore plus de « vie » à ces personnages plus drôles les uns que les autres.
A vos lectures et merci aux auteurs qui visiblement n’ont pas fini de nous étonner sur la série Tizombi.
Margotik ne se sent plus en sécurité dans le cimetière, les zombies qui l’entourent sont de plus en plus insistants à vouloir la croquer. Tizombi la rassure et lui trouve de nouveaux gardes du corps qui ne semblent pas la rassurer pour autant. Fatal de son côté cherche entre deux repas à trouver une solution pour enterrer encore plus profondément les cadavres les plus récalcitrants. Tékaté s’adonne à des puzzles en 3D quant à Tizombi, il reste introuvable. Cela commence à devenir inquiétant, d’autant que cela n’est pas son genre de disparaître ainsi. Margotik et Fatal partent à sa recherche, c’est le début d’une grande quête dont Tizombi semble avoir les clefs.
Quatrième aventure et on ne s’en lasse pas. Les raisons sont simples, c’est drôle, décalé et chaque tranche d’âge y trouve son compte. Il n’est pas simple pour les auteurs dans ce type de formule de « gags en une planche » d’arriver à se renouveler sans tomber dans la routine. Pour le moment Cazenove et William réussissent à nous étonner.
Ce quatrième volet prend ainsi un autre tournant. On retrouve toujours notre quatuor principal, Tizombi, Margotik, Tékaté, Fatal et leurs gags plus gores les uns que les autres mais cette fois-ci, il y a un véritable fil rouge autour de Tizombi. Une vraie aventure à laquelle vont participer les protagonistes, laissant échapper des ingrédients encore non exploités par cette série tels que du suspense et des intrigues.
Tizombi n’est donc pas que destiné à un jeune public connaissant ses premiers émois et souhaitant se faire peur, les adultes peuvent aussi y trouver leur compte. D’autant que Cazenove et William prennent un malin plaisir à semer des allusions, anecdotes à destination des plus grands en faisant référence à des classiques cinématographiques et littéraires du monde de l'épouvante et de l’horreur.
Petit clin d’œil aux couleurs d’Elodie Jacquemoire, que j’apprécie particulièrement, qui viennent sublimer le travail de William et donner encore plus de « vie » à ces personnages plus drôles les uns que les autres.
A vos lectures et merci aux auteurs qui visiblement n’ont pas fini de nous étonner sur la série Tizombi.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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