Valhalla hotel
Acheter sur BD FugueVALHALLA HOTEL
Tome 03 - OVERKILL
Tome 03 - OVERKILL
Scénario : Fabien BEDOUEL - Patrice PERNA
Dessin : Fabien BEDOUEL
Couleur : Fabien BEDOUEL
Editions : COMIX BURO
Troisième et dernier volet de la série « Valhalla hôtel », encore plus déjanté que les autres, plus explosif, plus rythmé, plus électrique, plus surprenant bref plus fou tout simplement. Que l’on aime ou que l’on déteste, les auteurs ont réalisé la prouesse d’avoir créé une BD inclassable dans une bibliothèque, reste à la ranger dans la pharmacie à côté des amphétamines.
Sur une route déserte près de Flatstone, le shérif et Zawalski échangent sur le petit secret. Zawalski avoue être un agent du Mossad, infiltré par le gouvernement israélien pour pourchasser les nazis dont Frau Winker. Cette dernière serait une proche d’Hitler, généticienne qui continuerait ses expériences. Le « bête » shérif n’en croit pas un mot. Pendant ce temps, Les fous de la gâchette s’entraînent à bord de « Big Boy » en s’acharnant sur des restes de carcasses avant de voir apparaître une colonne de chars allemands. Et encore dans le même temps, Mélissa, Malone, El loco ne peuvent que constater que l’homme à la tête de cochon ne pourra plus leur nuire. Maintenant, il ne reste plus qu’à prendre d’assaut un bunker pour récupérer Betty et Lenny, combattre les aryens à tête blonde avec quelques salves de mitraillettes, démasquer quelques psychopathes recherchés par le FBI et finir en bouquet final par tout faire exploser.
Cette série d’albums est à classer dans la rubrique du grand n’importe quoi organisé. Pour le plus grand plaisir des plus déjantés d’entre nous, cette série mêle musique, rock, cascade, fusillade, combat, violence, explosion, homme cochon et nazis… et tout ceci en même temps et parfois sur la même planche. Autant dire que cet album se lit à 120 kilomètres heure.
Mais ce grand « n’importe quoi » est au-delà de son apparence quelque peu organisé. L’histoire est bien présente avec un fil conducteur autour du démantèlement d’un réseau, les personnages ont une vie bien identifiée, il y a du suspense avec un rebondissement final autour d’El loco, et les auteurs se sont amusés à truffer les albums de clins d’œil, de références que vous vous amuserez à retrouver.
La force de cet album vient de son jeu de personnages, le casting est totalement hallucinant ainsi que le rythme, ce qui permet de pouvoir faire passer n’importe quelle aberration. En d’autres termes, même sans LSD, vous pouvez passer un très bon moment à la lecture sauf si vous êtes premier degré.
Sur une route déserte près de Flatstone, le shérif et Zawalski échangent sur le petit secret. Zawalski avoue être un agent du Mossad, infiltré par le gouvernement israélien pour pourchasser les nazis dont Frau Winker. Cette dernière serait une proche d’Hitler, généticienne qui continuerait ses expériences. Le « bête » shérif n’en croit pas un mot. Pendant ce temps, Les fous de la gâchette s’entraînent à bord de « Big Boy » en s’acharnant sur des restes de carcasses avant de voir apparaître une colonne de chars allemands. Et encore dans le même temps, Mélissa, Malone, El loco ne peuvent que constater que l’homme à la tête de cochon ne pourra plus leur nuire. Maintenant, il ne reste plus qu’à prendre d’assaut un bunker pour récupérer Betty et Lenny, combattre les aryens à tête blonde avec quelques salves de mitraillettes, démasquer quelques psychopathes recherchés par le FBI et finir en bouquet final par tout faire exploser.
Cette série d’albums est à classer dans la rubrique du grand n’importe quoi organisé. Pour le plus grand plaisir des plus déjantés d’entre nous, cette série mêle musique, rock, cascade, fusillade, combat, violence, explosion, homme cochon et nazis… et tout ceci en même temps et parfois sur la même planche. Autant dire que cet album se lit à 120 kilomètres heure.
Mais ce grand « n’importe quoi » est au-delà de son apparence quelque peu organisé. L’histoire est bien présente avec un fil conducteur autour du démantèlement d’un réseau, les personnages ont une vie bien identifiée, il y a du suspense avec un rebondissement final autour d’El loco, et les auteurs se sont amusés à truffer les albums de clins d’œil, de références que vous vous amuserez à retrouver.
La force de cet album vient de son jeu de personnages, le casting est totalement hallucinant ainsi que le rythme, ce qui permet de pouvoir faire passer n’importe quelle aberration. En d’autres termes, même sans LSD, vous pouvez passer un très bon moment à la lecture sauf si vous êtes premier degré.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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