Liloo
LILOO
Fille des cavernes
La Grande Classe
La Grande Classe
Scénario : Stephane Tamaillon
Dessin : Pierre Uong
Editions : BD MOUSSE
Ce n’est pas parce que Liloo est une fille qu’elle n’a pas le droit de participer à la chasse aux Mammouths. Têtue et féministe, Liloo veut exister. Une aventure facile à lire qui devrait plaire aux plus jeunes.
Depuis la dernière période glacière, le clan des caverneux tente de survivre. Liloo appartient à ce clan et aimerait participer à la grande chasse aux Mammouths. Son père s’y refuse car ce n’est pas la place d’une fille. C’est réservé aux hommes, comme Silex par exemple, sauf que le jeune homme est un contre-exemple car il ne se voit pas comme chasseur mais plutôt comme artiste. Et à cette époque, peindre dans une grotte n’est pas reconnu comme un vrai métier (plus tard non plus d’ailleurs).
Liloo de son côté ne démord pas de son idée de participer à la chasse. Elle est têtue et profite des préparatifs pour échafauder un plan et fuguer afin de suivre à distance la troupe. C’est le début de l’aventure pour Liloo.
La fin ouverte nous donne à envisager un second tome bienvenu, en préparation…
Cette BD d’aventure jeunesse devrait trouver son jeune public. Malgré que l’histoire n’ait que peu d’intérêt, la lecture est très bien adaptée à la cible et c’est le principal. Le découpage est logique, fluide avec un coup de crayon assez sympathique de Pierre Uong qui donne envie de poursuivre les aventures de Liloo.
Sur le fond, les auteurs cherchent également à dénoncer les grandes lignes sexistes de notre société où certains métiers, certaines activités seraient labélisés homme-femme.
Souhaitons une longue route à Liloo qui non seulement est têtue mais parle également aux animaux, ce qui laisse entrevoir de grandes possibilités d’aventures qui plairont au jeune public.
Depuis la dernière période glacière, le clan des caverneux tente de survivre. Liloo appartient à ce clan et aimerait participer à la grande chasse aux Mammouths. Son père s’y refuse car ce n’est pas la place d’une fille. C’est réservé aux hommes, comme Silex par exemple, sauf que le jeune homme est un contre-exemple car il ne se voit pas comme chasseur mais plutôt comme artiste. Et à cette époque, peindre dans une grotte n’est pas reconnu comme un vrai métier (plus tard non plus d’ailleurs).
Liloo de son côté ne démord pas de son idée de participer à la chasse. Elle est têtue et profite des préparatifs pour échafauder un plan et fuguer afin de suivre à distance la troupe. C’est le début de l’aventure pour Liloo.
La fin ouverte nous donne à envisager un second tome bienvenu, en préparation…
Cette BD d’aventure jeunesse devrait trouver son jeune public. Malgré que l’histoire n’ait que peu d’intérêt, la lecture est très bien adaptée à la cible et c’est le principal. Le découpage est logique, fluide avec un coup de crayon assez sympathique de Pierre Uong qui donne envie de poursuivre les aventures de Liloo.
Sur le fond, les auteurs cherchent également à dénoncer les grandes lignes sexistes de notre société où certains métiers, certaines activités seraient labélisés homme-femme.
Souhaitons une longue route à Liloo qui non seulement est têtue mais parle également aux animaux, ce qui laisse entrevoir de grandes possibilités d’aventures qui plairont au jeune public.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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