Ce projet est terminé.
304€
sur un objectif de 4500 €
8 contributeurs
Ayant grandi, comme la plupart d’entre nous, avec le Club Dorothée et autres émissions qui nous proposaient des programmes venus de lointaines contrées, j’ai tout d’abord commencé à me passionner par l’animation et espérais pouvoir, moi aussi, raconter des choses à travers des dessins en mouvement. Cependant, avec le temps, je me suis finalement rapproché de la bande dessinée, qui semblait être plus appropriée à mon envie de narrer mes propres histoires. Et c’est ainsi qu’avec les précieux conseils de plusieurs directeurs éditoriaux, aussi bien français que japonais, naquit The Last Ferypka.
Les mangas n’ont jamais représenté la même chose tout au long de ma vie. Au début, c’était un divertissement que je regardais avec fascination. Mais avec le temps, j’ai découvert la profondeur philosophique que pouvait représenter ces œuvres. Des mangas comme Gunnm, Akira ou Berserk mon en partie convaincu dans mon choix d’exprimer ma vision d’un scénario par le biais du support manga.
L’art, en général, me plaît beaucoup, et surtout le cinéma. Mais les mangas ou les bandes dessinées en général sont un mode d’expression plus accessible à mes yeux, car je dessine depuis plus d’une vingtaine d’années.
Le silence et les paroles coexistent quand un lecteur ouvre un livre.
OGAWA, Siby
Je me suis intéressée au dessin et aux dessins animés japonais dès l'âge de 6 ans. Au début, je voulais en créer un, mais en regardant un reportage à la télévision, j'ai vu qu'il fallait toute une équipe et beaucoup de matériels pour le faire, donc, je me suis très vite tournée vers la bande-dessinée. Mes influences viennent surtout du chara-design des dessins animés des années 80-90 et non des mangas, vu que ces derniers sont arrivés assez tard entre mes mains.
Tombée sous le charme des aquarelles d'Akemi Takada (Creamy, Kimagure Orange Road...), Haruhiko Mikimoto (Macross...), Tsukasa Hôjô (City Hunter, Cat's Eyes, family Compo...) et Mitsuru Adachi (Touch, Hi Atari Ryôko, Rough...) , c'est naturellement vers cette technique de peinture que je me suis tournée pour mettre en couleurs mes illustrations, en plus des feutres et crayons de couleurs classiques. Mais pour la BD, le numérique est devenu un outil essentiel. J'ai dû tout apprendre en autodidacte. J'ai utilisé Photoshop, Painter, Paint Tool Sai, Manga Studio 4 et maintenant Clip Studio Paint.Aujourd'hui, je m'occupe du nettoyage et du lettrage de manga et de webtoon en activité principale, tout en faisant de temps en temps des portraits et illustrations lors de festivals.
Forte de toutes ces expériences, je compte bien me lancer dans le webtoon, le moment propice.
PLUSHY
Hey ! Moi c'est Plushy ! Plushy Draws sur les réseaux.
Je suis l'autrice Mangaka de My Lucky Bliitz. Je suis une grande fan de manga depuis ma tendre enfance, bercée sur : Pokémon, DragonBall Z, Yu-GI-Oh, Sakura la chasseuse de carte, Naruto, Rave master et j'en passe... Les mangas ne m'ont jamais quittée. Me lancer dans les bandes dessinées est mon rêve depuis petite. En voyant les murs de ma ville, « Angoulême », je voulais aussi faire partie des auteurs.Et c'est en 2012 que mon rêve a commencé. Je n'ai pas fait d'étude d'art, j'ai appris par moi-même. En autodidacte donc. Avec internet. J'ai rencontré la maison d'édition Yüreka en 2016 alors que je créais mon tout premier chapitre de My Lucky Bliitz. Qui est également mes premières planches mangas. Ils m'ont beaucoup appris.
Mon manga parle en priorité du harcèlement scolaire et des fables de la Fontaine. C'est aussi un magical girl très porté sur des duels. Peut-être vous plaira-t-il ?
Mon engagement pour lutter contre le fléau du harcèlement scolaire me porte à cœur, après avoir moi-même connu cela pendant ma scolarité. Je souhaite sensibiliser. J'espère que mon manga saura vous aider, vous faire aussi voyager et rêver. N'hésitez pas à me suivre sur les réseaux sociaux !
Plushy Draws. Une peluche qui dessine !
VYROSS
À l'âge de 7 ans, j'étais déjà passionné par les mangas. Un matin, en découvrant Saint Seiya (Les Chevaliers du Zodiaque) à la télévision, j'ai eu un déclic. Influencé par cet animé et également par Max et Compagnie, ou Juliette je t'aime, j'ai alors commencé mes premiers dessins et, très rapidement, mes premières planches. À 18 ans, après plusieurs années à améliorer mon style, je suis devenu maçon et arrêtai de dessiner, ne me sentant pas assez encouragé. Plus tard, je me suis rendu compte de mon erreur et j'ai repris le dessin et mon destin en main, bien décidé à réaliser mes rêves !