Ange Leca
Acheter sur BD FugueANGE LECA
Scénario : Tom GRAFFIN - Jérome ROPERT
Dessin : Victor LEPOINTE
Couleur : Victor LEPOINTe
Editions : GRAND ANGLE
Un thriller envoûtant au cœur des quartiers parisiens sous les eaux, dans lesquels le journaliste Ange Luca va mener son enquête sous le pinceau d’un surprenant Victor Lepointe.
Alors que la Seine sort de son lit, Ange Leca rentre dans le sien en compagnie de sa maîtresse. La population s’organise pour pallier cette montée des eaux dans les rues de Paris. Les gens ont installé des traverses sur les trottoirs pour pouvoir circuler et les pompiers ramassent en barque les noyés de la nuit. Ange aurait pu être l’un d’eux compte tenu de la quantité d’alcool qu’il a encore dans le sang. Mais le destin en a voulu autrement. C’est à la faculté de médecine que le journaliste va passer sa journée à la recherche d’une idée d’article. Il ne va pas être déçu, son ami médecin légiste va lui montrer une curieuse malle retrouvée à l’aube, contenant un corps de femme, sans jambes, sans tête et les seins arrachés. Pour sûr qu’elle ne s’est pas noyée. Ange Luca tient son scoop mais ses premières investigations de journaliste détective ne semblent pas plaire à tout le monde dont son patron en premier lieu.
Dès les premières planches, ce récit semble avoir quelque chose de particulier. Une belle introduction, un contexte historique, des premiers dessins avec un graphisme et une mise en couleur surprenants et la découverte d’un cadavre peu ordinaire. Il n’en faut pas plus pour savoir que l’on va passer un bon moment de lecture.
C’est le duo de scénaristes Tom Graffin et Jérôme Ropert qui est à l’origine de la naissance d’Ange Luca. Ce journaliste détective va mener une enquête digne d’un Hercule Poirot, dans une ambiance sérial Killer du début du XXème siècle avec aucune technologie ni matériel. Le récit tient la barque sans soucis, quant à Ange Luca, c’est un personnage bien particulier, corse d’origine avec un penchant pour l’alcool, les filles et les soirées, pas le gendre idéal mais un beau personnage de fiction.
Mais cette histoire n’aurait pas le même rayonnement sans le graphisme de Victor Lepointe, qui propose un graphisme réaliste, fin et qui grâce à sa colorisation, son jeu de lumière, ses brumes, donne un ton à la fois dramatique et poétique, une ambiance envoûtante dès les premières cases qui vous feront tomber sous le charme de ce dessinateur.
Une histoire complète qui mérite une attention particulière avec un dessinateur à suivre avec ce premier album.
Alors que la Seine sort de son lit, Ange Leca rentre dans le sien en compagnie de sa maîtresse. La population s’organise pour pallier cette montée des eaux dans les rues de Paris. Les gens ont installé des traverses sur les trottoirs pour pouvoir circuler et les pompiers ramassent en barque les noyés de la nuit. Ange aurait pu être l’un d’eux compte tenu de la quantité d’alcool qu’il a encore dans le sang. Mais le destin en a voulu autrement. C’est à la faculté de médecine que le journaliste va passer sa journée à la recherche d’une idée d’article. Il ne va pas être déçu, son ami médecin légiste va lui montrer une curieuse malle retrouvée à l’aube, contenant un corps de femme, sans jambes, sans tête et les seins arrachés. Pour sûr qu’elle ne s’est pas noyée. Ange Luca tient son scoop mais ses premières investigations de journaliste détective ne semblent pas plaire à tout le monde dont son patron en premier lieu.
Dès les premières planches, ce récit semble avoir quelque chose de particulier. Une belle introduction, un contexte historique, des premiers dessins avec un graphisme et une mise en couleur surprenants et la découverte d’un cadavre peu ordinaire. Il n’en faut pas plus pour savoir que l’on va passer un bon moment de lecture.
C’est le duo de scénaristes Tom Graffin et Jérôme Ropert qui est à l’origine de la naissance d’Ange Luca. Ce journaliste détective va mener une enquête digne d’un Hercule Poirot, dans une ambiance sérial Killer du début du XXème siècle avec aucune technologie ni matériel. Le récit tient la barque sans soucis, quant à Ange Luca, c’est un personnage bien particulier, corse d’origine avec un penchant pour l’alcool, les filles et les soirées, pas le gendre idéal mais un beau personnage de fiction.
Mais cette histoire n’aurait pas le même rayonnement sans le graphisme de Victor Lepointe, qui propose un graphisme réaliste, fin et qui grâce à sa colorisation, son jeu de lumière, ses brumes, donne un ton à la fois dramatique et poétique, une ambiance envoûtante dès les premières cases qui vous feront tomber sous le charme de ce dessinateur.
Une histoire complète qui mérite une attention particulière avec un dessinateur à suivre avec ce premier album.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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