Le Suaire T2
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Deuxième tome : Turin, 1898
Scénaristes : Gérard Mordillat et Jérôme Prieur
Dessinateur : Eric Liberge
Editeur : Futuropolis
Cela fait plaisir de retrouver Eric Liberge avec ce tome 2 Du Suaire, après un tome 1 très réussi ! Ce tome 2 se passe au XIXème siècle, autre époque que le tome 1 au XIVème siècle, mais toujours autant d’intrigues passionnantes autour de cet artefact religieux, Le Suaire du Christ.
Turin, mai 1898. Lucia, fille unique du baron Tomaso Pastore d’Urbino, se donne pour la première fois à Enrico Spitiero, un jeune avocat et député socialiste. Le baron, chef du parti monarchiste est un catholique fervent, alors que l’amant de Lucia, Enrico, est un athée notoire. Tandis que dans la rue des manifestants crient « À bas la monarchie », Secondo Pia photographie le « suaire » dans la cathédrale San Giovanni Baptista. Pour le baron d’Urbino, c’est le visage du Christ qui se révèle. Aussitôt, à la chambre des députés, Enrico dénonce un tour de passe-passe des monarchistes pour « asseoir le trône de la maison de Savoie ». Les esprits s’échauffent, Tomaso et Enrico en sont presque à venir aux mains. Dans le public, Lucia assiste, impuissante, à la querelle qui oppose son père et son amant…
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Cette histoire est très bien écrite, comme l’indique le peach de l’éditeur, double lecture pour album. Une superbe histoire d’amour, bien tortueuse comme on l’aime. A l’amour ! si c’était simple, cela se saurait ! Et politique, avec la montée du socialisme, en contradiction des intérêts des grands patrons.
Et Le Suaire dans tout ça ? Et bien, les scénaristes Gérard Mordillat et Jérôme Prieur, les auteurs et réalisateurs de Corpus Christi et de l’Origine du christianisme nous plongent dans une véritable enquête ésotérique, passionnant.
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Et le dessin ? Superbe. Eric Liberge est bluffant de précisions, il joue de main de maitre avec ses ombres et son trait élégant. Pas de limite pour ce dessin en noir, blanc et gris : décors, animaux, paysages mais surtout ses personnages sont très bien rendus avec des expressions bien réalistes.
Cette BD comme vous l’aurez compris à beaucoup de qualités, ses 70 pages vous proposeront un bon moment de lecture.
Dessinateur : Eric Liberge
Editeur : Futuropolis
Cela fait plaisir de retrouver Eric Liberge avec ce tome 2 Du Suaire, après un tome 1 très réussi ! Ce tome 2 se passe au XIXème siècle, autre époque que le tome 1 au XIVème siècle, mais toujours autant d’intrigues passionnantes autour de cet artefact religieux, Le Suaire du Christ.
Turin, mai 1898. Lucia, fille unique du baron Tomaso Pastore d’Urbino, se donne pour la première fois à Enrico Spitiero, un jeune avocat et député socialiste. Le baron, chef du parti monarchiste est un catholique fervent, alors que l’amant de Lucia, Enrico, est un athée notoire. Tandis que dans la rue des manifestants crient « À bas la monarchie », Secondo Pia photographie le « suaire » dans la cathédrale San Giovanni Baptista. Pour le baron d’Urbino, c’est le visage du Christ qui se révèle. Aussitôt, à la chambre des députés, Enrico dénonce un tour de passe-passe des monarchistes pour « asseoir le trône de la maison de Savoie ». Les esprits s’échauffent, Tomaso et Enrico en sont presque à venir aux mains. Dans le public, Lucia assiste, impuissante, à la querelle qui oppose son père et son amant…
Cette histoire est très bien écrite, comme l’indique le peach de l’éditeur, double lecture pour album. Une superbe histoire d’amour, bien tortueuse comme on l’aime. A l’amour ! si c’était simple, cela se saurait ! Et politique, avec la montée du socialisme, en contradiction des intérêts des grands patrons.
Et Le Suaire dans tout ça ? Et bien, les scénaristes Gérard Mordillat et Jérôme Prieur, les auteurs et réalisateurs de Corpus Christi et de l’Origine du christianisme nous plongent dans une véritable enquête ésotérique, passionnant.
Et le dessin ? Superbe. Eric Liberge est bluffant de précisions, il joue de main de maitre avec ses ombres et son trait élégant. Pas de limite pour ce dessin en noir, blanc et gris : décors, animaux, paysages mais surtout ses personnages sont très bien rendus avec des expressions bien réalistes.
Cette BD comme vous l’aurez compris à beaucoup de qualités, ses 70 pages vous proposeront un bon moment de lecture.
LAURENT
Chroniqueur
La Bande Du 9
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