Les 100 derniers jours d'Hitler
Acheter sur BD FugueLES 100 DERNIERS JOURS D'HITLER
Scénario : Jean Pierre PECAU
Dessin : Filip ANDRONIK & Senad MAVRIC
Couleurs : Jean VERNEY
Editions : DELCOURT
Tout est perdu pour l’Allemagne nazie mais Hitler se refuse à l’admettre et préfère encore enfoncer son pays dans le chaos et l’horreur. Ce livre est un excellent ouvrage pédagogique pour montrer l’horreur de la guerre et de l’homme.
Début de l’année 45, l’Allemagne nazie est de plus en plus acculée, les villes allemandes bombardées, le front de l’est se rapproche de plus en plus, tout le monde comprend parmi la population et parmi les hauts gradés que la situation est perdue et qu’il faut entamer les négociations pour une sortie de guerre. Mais Hitler ne l’entend pas de cette oreille, selon lui tout n’est pas perdu et tous ceux qui auront cette pensée seront considérés comme des traites et seront fusillés. En attendant sa chute, Hitler va s’enfermer avec ses proches et sa garde rapprochée dans son bunker et continuer à faire vivre l’horreur au monde entier jusqu’à sa mort.
Il est évident que tout le monde connait maintenant les faits horribles qui se sont déroulés durant la seconde guerre mondiale, que cela soit au niveau politique, militaire et génocide. A chaque nouvelle lecture, à chaque film, le public s’attend à découvrir une autre facette sur la présentation des faits. C’est le cas avec ce livre qui se déroule dans les coulisses du régime nazi au côté d’Hitler lui-même. Ce livre n’est bien entendu pas une propagande du régime nazi mais au contraire une dénonciation qui va au-delà de l’imaginable. Après la lecture, le degré de folie du dictateur monte d’un cran supplémentaire. Ce livre met en évidence son pouvoir destructeur vis-à-vis des alliés et des juifs mais surtout vis à vis de son propre peuple et de tous les opposants au régime. De nombreuses vies auraient dû être épargnées sans la folie de cet homme.
Maintenant sur le livre en lui-même, celui-ci est construit comme un documentaire, n’allez pas chercher une fiction, les auteurs ont respecté l’adaptation d’un livre, les informations sont denses, parfois sur une page, de manière chronologique et la lecture n’est pas toujours simple mais énormément pédagogique. Il faut donc aborder cet ouvrage comme une lecture de transmission du savoir et non comme un moment de détente, et dans ce cas, le pari est gagné.
Début de l’année 45, l’Allemagne nazie est de plus en plus acculée, les villes allemandes bombardées, le front de l’est se rapproche de plus en plus, tout le monde comprend parmi la population et parmi les hauts gradés que la situation est perdue et qu’il faut entamer les négociations pour une sortie de guerre. Mais Hitler ne l’entend pas de cette oreille, selon lui tout n’est pas perdu et tous ceux qui auront cette pensée seront considérés comme des traites et seront fusillés. En attendant sa chute, Hitler va s’enfermer avec ses proches et sa garde rapprochée dans son bunker et continuer à faire vivre l’horreur au monde entier jusqu’à sa mort.
Il est évident que tout le monde connait maintenant les faits horribles qui se sont déroulés durant la seconde guerre mondiale, que cela soit au niveau politique, militaire et génocide. A chaque nouvelle lecture, à chaque film, le public s’attend à découvrir une autre facette sur la présentation des faits. C’est le cas avec ce livre qui se déroule dans les coulisses du régime nazi au côté d’Hitler lui-même. Ce livre n’est bien entendu pas une propagande du régime nazi mais au contraire une dénonciation qui va au-delà de l’imaginable. Après la lecture, le degré de folie du dictateur monte d’un cran supplémentaire. Ce livre met en évidence son pouvoir destructeur vis-à-vis des alliés et des juifs mais surtout vis à vis de son propre peuple et de tous les opposants au régime. De nombreuses vies auraient dû être épargnées sans la folie de cet homme.
Maintenant sur le livre en lui-même, celui-ci est construit comme un documentaire, n’allez pas chercher une fiction, les auteurs ont respecté l’adaptation d’un livre, les informations sont denses, parfois sur une page, de manière chronologique et la lecture n’est pas toujours simple mais énormément pédagogique. Il faut donc aborder cet ouvrage comme une lecture de transmission du savoir et non comme un moment de détente, et dans ce cas, le pari est gagné.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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