Nottingham T02
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Tome 02 - LA TRAQUE
Tome 02 - LA TRAQUE
Scénario : Vincent BRUGEAS - Emmanuel HERZET
Dessin : Benoit DELLAC
Couleur : Denis BECHU
Edition : Le LOMBARD
A Londres, le Prince Jean continue à comploter pour s’emparer du pouvoir mais c’est sans compter sur l’opposition de la résistance qui s’organise dans la forêt de Sherwood. Un second volet bourré d’action et de suspense où les personnages prennent de plus en plus d’ampleur.
A Londres, le prince Jean est excédé. Son plan de vouloir rallier tout le monde à sa cause a échoué d’autant que la rumeur sur la survie du Roi Richard ne cesse de se diffuser. Accompagné de Hugues de Morville, ils complotent ensemble pour trouver une nouvelle parade. Hugues de Morville avance le nom de William Langland. Cet homme est le secrétaire particulier du régent mais également l’ongle maternel du shérif de Nottingham. Cet homme est donc un danger pour Jean sans terre et rapidement la décision est prise de l’éliminer en faisant courir une rumeur sur lui. Mais au détour d’un couloir, le Chanoine Langland surprend une conversation et comprend rapidement qu’il va être la cible, il décide de s’enfuir pour rejoindre son neveu dans la forêt de Sherwood. Pour Hugues de Morville, la traque est lancée.
Deuxième volet toujours aussi palpitant que cette version revisitée du « prince des voleurs ». Plusieurs intrigues vivent leur vie à travers les planches scénarisées par Vincent Brugeas et Emmanuel Herzet. Parmi elles, cette traque du chanoine dont nous ne pouvons vous donner l’issue, cela serait une offense aux scénaristes tellement ils ont mis d’énergie à maintenir le suspense et l’action durant les 56 pages de cet album. Mais aussi cette relation ambiguë entre Marianne et le shérif ou encore la place que cherche à trouver Petit Jean dans cette organisation. Beaucoup de personnages emblématiques que les auteurs ont réussi à glorifier en leur donnant beaucoup de charisme sans tomber dans une vulgaire reproduction de ce que l’on connait déjà.
Côté dessin, Benoit Dellac fait un travail phénoménal, il multiplie sans cesse les points de vue, un regard très cinématographique, beaucoup de mouvement et il joue beaucoup sur les regards pour faire passer les émotions. Son association avec Denis Béchu à la couleur est tout ce que l’on aime, on en redemande.
Vous l’aurez compris, les auteurs vont nous dénouer petit à petit les différentes ficelles. Pour le moment, le lecteur est au même niveau d’information que ce brave Oddard à la page 27. Après cette fin surprenante, il nous reste à attendre patiemment la suite des aventures des habitants de la forêt de Sherwood.

A Londres, le prince Jean est excédé. Son plan de vouloir rallier tout le monde à sa cause a échoué d’autant que la rumeur sur la survie du Roi Richard ne cesse de se diffuser. Accompagné de Hugues de Morville, ils complotent ensemble pour trouver une nouvelle parade. Hugues de Morville avance le nom de William Langland. Cet homme est le secrétaire particulier du régent mais également l’ongle maternel du shérif de Nottingham. Cet homme est donc un danger pour Jean sans terre et rapidement la décision est prise de l’éliminer en faisant courir une rumeur sur lui. Mais au détour d’un couloir, le Chanoine Langland surprend une conversation et comprend rapidement qu’il va être la cible, il décide de s’enfuir pour rejoindre son neveu dans la forêt de Sherwood. Pour Hugues de Morville, la traque est lancée.

Deuxième volet toujours aussi palpitant que cette version revisitée du « prince des voleurs ». Plusieurs intrigues vivent leur vie à travers les planches scénarisées par Vincent Brugeas et Emmanuel Herzet. Parmi elles, cette traque du chanoine dont nous ne pouvons vous donner l’issue, cela serait une offense aux scénaristes tellement ils ont mis d’énergie à maintenir le suspense et l’action durant les 56 pages de cet album. Mais aussi cette relation ambiguë entre Marianne et le shérif ou encore la place que cherche à trouver Petit Jean dans cette organisation. Beaucoup de personnages emblématiques que les auteurs ont réussi à glorifier en leur donnant beaucoup de charisme sans tomber dans une vulgaire reproduction de ce que l’on connait déjà.

Côté dessin, Benoit Dellac fait un travail phénoménal, il multiplie sans cesse les points de vue, un regard très cinématographique, beaucoup de mouvement et il joue beaucoup sur les regards pour faire passer les émotions. Son association avec Denis Béchu à la couleur est tout ce que l’on aime, on en redemande.
Vous l’aurez compris, les auteurs vont nous dénouer petit à petit les différentes ficelles. Pour le moment, le lecteur est au même niveau d’information que ce brave Oddard à la page 27. Après cette fin surprenante, il nous reste à attendre patiemment la suite des aventures des habitants de la forêt de Sherwood.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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