OPTIC SQUAD
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Tome 2 - MISSION LOS ANGELES
Scénario : Sylvain RUNBERG
Dessin : Stéphane BERVAS
Couleurs : Stéphane ASTIER
Editions : RUE DE SEVRES
Dans une société où la technologie vient en aide à des agents d’élite regroupés sous le nom d’Optic Squad, les agents Katryn et Valdo se voient confier la mission de protéger le Président et son projet d’Immunocard. Un récit complexe à suivre mais dont le fond ne manque pas d’intérêt.
Jenna et sa sœur sont en pleine partie de Squash à Venice Beach lorsque Jenna s’effondre, victime d’une crise cardiaque. Jenna faisait partie du programme Immunocard et elle n’est malheureusement pas la seule personne ayant eu ces effets secondaires. Rappelons qu’Immunocard est un programme gouvernemental permettant, à l’aide d’une puce, de pouvoir diagnostiquer en temps réel les problèmes des patients et de leur injecter les traitements adaptés. Ce programme est l’œuvre de Zak Demarest, candidat sortant à l’élection de la Western States qui a de nombreux soutiens sauf ceux des mouvements extrémistes qui font justement lancer un attentat contre lui lors d’un meeting. Dans cet attentat, une jeune Optic Squad, la partenaire de Valdo Reyes, va perdre la vie. C’est Katryn qui va être nommée pour la remplacer et servir de garde du corps au président de la Western States. Le duo ne sait pas encore qu’ils viennent d’entrer dans une partie politico-maffieuse.
En 2098, la technologie a progressé au point de pouvoir implanter des nano caméras greffées dans la cornée des agents permettant de filmer toutes les situations. Les agents peuvent également compter sur des drones ayant pour fonction de leur injecter à distance et en temps réel des stimulants ou des calmants. Ces agents appartiennent à une unité d’élite dépendant de l’ONU appelée « OPTIC SQUAD ».
Sylvain Runberg a imaginé cet univers dans un tome 01 très prometteur. Ce tome deux est beaucoup moins rythmé, mais beaucoup plus stratégique et politique, l’auteur cherchant surtout à dénoncer le système mis en place par Zak Demarest dont les allusions pourraient être comparées à notre société.
Cette stratégie donne lieu à un faux rythme avec de nombreux dialogues et beaucoup de texte qui ont du mal à trouver leur place dans un découpage difficile à suivre. Le graphisme de Bervas, malgré quelques belles scènes d’action, n’arrive pas à contre balancer à cause d’une confusion des personnages et une surcharge des planches, ce qui donne malheureusement une petite déception par rapport aux promesses du premier volet.
Espérons que le troisième volet relève le niveau.
Jenna et sa sœur sont en pleine partie de Squash à Venice Beach lorsque Jenna s’effondre, victime d’une crise cardiaque. Jenna faisait partie du programme Immunocard et elle n’est malheureusement pas la seule personne ayant eu ces effets secondaires. Rappelons qu’Immunocard est un programme gouvernemental permettant, à l’aide d’une puce, de pouvoir diagnostiquer en temps réel les problèmes des patients et de leur injecter les traitements adaptés. Ce programme est l’œuvre de Zak Demarest, candidat sortant à l’élection de la Western States qui a de nombreux soutiens sauf ceux des mouvements extrémistes qui font justement lancer un attentat contre lui lors d’un meeting. Dans cet attentat, une jeune Optic Squad, la partenaire de Valdo Reyes, va perdre la vie. C’est Katryn qui va être nommée pour la remplacer et servir de garde du corps au président de la Western States. Le duo ne sait pas encore qu’ils viennent d’entrer dans une partie politico-maffieuse.
En 2098, la technologie a progressé au point de pouvoir implanter des nano caméras greffées dans la cornée des agents permettant de filmer toutes les situations. Les agents peuvent également compter sur des drones ayant pour fonction de leur injecter à distance et en temps réel des stimulants ou des calmants. Ces agents appartiennent à une unité d’élite dépendant de l’ONU appelée « OPTIC SQUAD ».
Sylvain Runberg a imaginé cet univers dans un tome 01 très prometteur. Ce tome deux est beaucoup moins rythmé, mais beaucoup plus stratégique et politique, l’auteur cherchant surtout à dénoncer le système mis en place par Zak Demarest dont les allusions pourraient être comparées à notre société.
Cette stratégie donne lieu à un faux rythme avec de nombreux dialogues et beaucoup de texte qui ont du mal à trouver leur place dans un découpage difficile à suivre. Le graphisme de Bervas, malgré quelques belles scènes d’action, n’arrive pas à contre balancer à cause d’une confusion des personnages et une surcharge des planches, ce qui donne malheureusement une petite déception par rapport aux promesses du premier volet.
Espérons que le troisième volet relève le niveau.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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