La bande du 9 : La communaut du 9ème art

Le Drop Bear, un marsupial carnivore qui se laisserait tomber du haut des arbres sur ses proies, ne leur laissant aucune chance. Histoire pour amuser les touristes ou véritable menace ? Découvrez la plus terrifiante des légendes australiennes.
 
ASHIKARA, derrière ce curieux pseudo, se cache un passionné d'images et de narration. Dessinant depuis aussi loin qu'il se souvienne, c'est tout naturellement qu'il entreprit des études de photographie et de graphisme. Tirant son inspiration de multiples sources, du cinéma et la bande dessinée en passant par le jeu vidéo, il a toujours des projets en cours dans des domaines différents, mais toujours liés à l'image.
C'est en allant vivre un an en Australie en 2013 que le projet de sa première BD vit le jour. The Drop Bear était né. Reprenant une légende locale destinée à amuser le touriste, il écrivit une histoire prenant place dans des lieux qu'il a côtoyé lors de son périple australien. Il concrétise son projet avec Y.I.L. Éditions en 2016, l'aventure est en marche.

Les Dieux sont inaccessibles, n’est-ce pas ? Ils sont tout-puissants, invulnérables, peuvent provoquer une tempête d’un simple claquement de doigts, des ouragans ou tsunamis.
Jamais ils ne s’abaisseront à s’offrir entièrement au regard des humains, à partager leur monde, à les considérer comme des êtres dignes de les approcher.
En êtes-vous si sûr ? Ces derniers temps, il semblerait que quelque chose se trame. Une nouvelle ère s’ouvre, apportant son lot d’incertitudes et de surprises. Les divinités marines, pour des raisons que nous ignorons, veulent nous rencontrer. Mais à leur manière, de façon prudente, surprenante, très... humaine. Car, après tout, ils ne sont pas si différents que cela de nous, connaissent les sentiments de peur, de tristesse ou même de curiosité. Vous le constaterez notamment avec Sedna, créature des mers hostiles, au destin amoureux et familial plus tragique que celui de la plupart des femmes, ou bien avec Oanès, tiraillé bien plus que nous entre sa condition d’animal et celle d’un être attiré par le savoir. Sans parler d’Olokun, roi souillé et déraciné, qui a pu ressentir au plus profond de son être le mal que l’on a fait à son peuple, le mal que les humains sont capables de se faire entre eux.
L’antiquité, période propice aux rencontres entre mer, terre et ciel, fut une première occasion de faire connaissance, parfois malheureuse et tragique, mais très enrichissante. L’attractivité entre les deux mondes est réciproque, aussi forte dans un sens que dans l’autre. Il n’aura fallu qu’un déclic pour que les sensibilités de l’eau et de la terre se mêlent à nouveau... plus que jamais. Cette fois, de façon moins tapageuse, moins violente, plus
intime. Dans un silence, comme apporté des profondeurs par d’humbles dieux, comme une offrande à notre monde chaotique, de brèves rencontres ont lieu. Sans paroles. Sans commentaires. De simples parenthèses enchantées.

Après Martial Lacour et La bible avec Humour publiés précédemment chez YIL, LUC DEROUBAIX revient en force avec ce troisième album encore plus poilant (mais toujours avec finesse) et cette fois en couleur !!!!
Et comme le dit si bien MICHEL DE DECKER dans la préface de WATERLITZ AUSTERLOO: "Cela étant, même si un parfum de dérision règne sur « Le Premier Empire selon Deroubaix », j’ai été sous le charme de la qualité historique de son opus.... La qualité de cette vaste fresque historique faite de raccourcis habilement choisis réside aussi dans le coup de patte du dessinateur. Le trait est drôle, net, incisif, comme tiré à coups de sabre".
 
Originaire de la région PAdCA (PAS-de-CALAIS), Luc Deroubaix (c’est le pseudonyme que lui ont donné ses parents) se rend à l’école avec des pieds de plomb ; il envisage donc le métier de scaphandrier. Mais, rapidement, cet aimable plaisantin se destine à une carrière artistique. Solitaire qui n’aime pas que l’on marche sur ses plates-bandes dessinées, ses qualités de gagman l’autorisent à embrasser la vie de dessinateur de mangag. Pour terminer, sachez que ce nordiste, qui griffonne des chtimickeys,, attaque chaque matin sa journée professionnelle en entonnant ce chant révolutionnaire : « Ah ça rira ! »

Si vous pensiez avoir atteint le stade ultime du fremissement, recrispez-vous !
Joblin et Le Discot proposent dans cet ouvrage trois nouvelles histoires hallucinantes tirées des fameux carnets de leurs ancêtres racontés dans Le MONSTERLAND T1... Ici: De Saint-Menoux dans l'allier à Dun-sur-Auron dans le Berry vous allez vous payer un beau voyage emprunt de péripéties diaboliques...
On vous aura prévenu...
 
Dessinateur, scénariste et parolier, Jean-Pierre Joblin commence par travailler comme assistant décors sur la série BD de Gilles Chaillet « Vasco » (éditions Le Lombard). Puis il enchaîne avec divers éditeurs : Le Téméraire : « La saga des terres du Nord », Petit à Petit « Contes en BD (Maupassant, Moyen âge etc.)
C’est dans les studios de France Animation où il travaille sur des séries comme « Robin des bois » et « Croc blanc » qu’il rencontre Gezman.
On le retrouve parmi les scénaristes de la série de dessins animés « La Dernière Réserve » chez Dargaud / Marina Productions.
Pour la presse, il écrit et dessine des histoires pour « Le Petit Léonard », « Cosinus », « Reciproq » , « Net Zoom », « Okaz », « Gheisha »…
Parallèlement à ces activités, il devient parolier de Lulu Borgia (4 albums), de Paris Bossa, Lou Saintagne et deBruno Daraquy pour qui il signe « Frères humains… » un tour de chant entièrement consacré à la vie et à l’œuvre de François Villon créé au Théâtre libre de Saint-Etienne en 2012.
Il réalise de nombreuses illustrations pour des ouvrages jeunesse (« Le livre magique de Sylvain Mirouf » chez Flammarion , « Asterix et l’Histoire de France » chez Atlas et des « docs » jeunesse chez Hachette et Delcourt)
Il signe des affiches pour des spectacles et des événementiels comme, tout récemment, pour l’exposition « Victor Hugo et la mer » pour le scriptorial du Mont Saint-Michel.
Depuis une dizaine d’années il illustre pour les éditions Milan les collections comme « De vie en vie » (« Coluche », « Chaplin », « Les Beatles » « Tolkien »…) ou « LesEncyclopes » ( « Au cœur de l’Afrique », « Les indiens d’Amérique du Nord » … et prochainement « L’Histoire du monde ».
Pour le dessinateur Olivier Le Discot, il écrit le triptyque BD « La Légende Dorée » chez Vents d’Ouest.
Cette série a obtenu en 2009 le prix « Jeune bulle pour le scénario » au festival Atlantis de Nantes.
Les deux compères ont enchaîné avec « Monsterland » (aux éditions De Borée ), beau livre fortement illustré et traitant du fantastique régional en posant la base du trompe-l’œil comme concept narratif.
Une adaptation du livre en théâtre d’ombre filmé « Les ombres de Monsterland » a été réalisée en 2013 par une classe de 4ème pendant l’un des ateliers qu’il anime.

Un vaisseau spatial arrive au-dessus de la terre. Le dieu Sucellos débarque en Bretagne et vient chercher de l'aide auprès de Véronika la fille du dieu Lug. Ce dernier est tombé dans un piège, qui l'a envoyé dans les limbes. Sucellos et Véronika devront trouver, guidés par Set le vaisseau, les 6 parties de la clé qui permet d'entrer dans les limbes pour sauver le dieu Lug.
Préface de FÉLIX MEYNET
 
Amédée ALBI est né en 1963, à Rochefort (17), il entre dans la vie active à 16 ans comme mécanicien-moto et malgré son jeune âge, il réussit à ne pas faire couler ni sauter la boîte.
Passionné de bande dessinée, surtout de comics comme Strange, il passe naturellement au dessin et à l’illustration. Il exerce pour les fanzines et associations du quartier.
En 1984 entre à ESBA – Ecole supérieure des beaux-arts de Genève, mais au bout d’un an en sort, car trop d’influences bande dessinée coulent en lui.
En 1989 il devient dessinateur projeteur pour le groupe DANONE et illustrateur des journaux internes du groupe.
En 2012 il décide de changer son orientation et de créer son entreprise pour vendre ses dessins.
Depuis il travaille pour le particulier, les commerçants, agences de communication, Etc.…
Et entre enfin dans le monde de la bande dessinée chez Y.I.L éditions avec la série VeroniKa: une guerrière celtique qui a pour mission de sauver son père, le dieu Lug !

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