BRZRKR T02
BRZRKR
Tome 2
Tome 2
Scénario : Keanu Reeves - Matt Kindt
Dessin : Ron Garney
Edition : Delcourt Comics
Toujours en quête de réponses, cet homme mi-humain mi-dieu appelé B est toujours aussi imprévisible. Le double jeu des scientifiques pourrait tout simplement mener à la perte de l‘humanité. Une série violente, sanglante au-delà de la logique cartésienne mais qui aborde malgré tout la solitude d’un homme face à son immortalité.
Dans un décor feutré, au coin du feu d’une cheminée, un homme connu sous le nom de B reçoit Diana la scientifique qui tente de l’étudier et de lui faire revenir la mémoire. Cet homme n’est pas comme tout le monde, il est doté d’un pouvoir d’immortalité, il est une sorte de dieu vivant. Pour l’aider dans sa quête du sens, Diana lui propose d’explorer de nouvelles pistes dont celle de l’amour et des sentiments. Elle va le faire replonger dans le temps à travers les siècles pour tenter de retrouver des détails, des faits par le biais de ses amours perdues qui pourraient l’amener à découvrir qui il est vraiment. Mais les conclusions vont souvent aboutir à la même chose, la mort, la mort des autres.
Après le succès commercial du premier tome bien exploité par la notoriété d’un de ses scénaristes à savoir Keanu Reeves, dans ce deuxième volet, les auteurs ont donné un aspect beaucoup plus humain à monsieur B en cherchant à explorer par l’intermédiaire de Diana des pistes liées à l’amour, l’amitié, la solidarité avec Jim son frère d’armes. B est en phase avec ces recherches mais les scientifiques qui l’entourent cherchent principalement à travers le protocole X à déterminer son origine pour comprendre son immortalité et ceci à des fins militaires.
Le scénario est agréable et se laisse lire, ce volet est beaucoup moins dense et violent que le premier mais beaucoup plus construit, en attendant le dernier volet qui risque d’être explosif si B s’aperçoit qu’il est manipulé. Car le sujet est bien là, B fait entièrement confiance au gouvernement américain pour l’aider en échange du règlement de quelques conflits que les mortels ne peuvent assumer. Mais que va-t-il arriver lorsque B va découvrir la vérité, se révolter, il sera impossible d’arrêter ce dieu immortel qui se régénère perpétuellement.
Le dessin de Ron Garney est dans la lignée du héros, à la fois sombre et dynamique mais également sensible dans une deuxième lecture, à l’image du regard de ses personnages.
Dans un décor feutré, au coin du feu d’une cheminée, un homme connu sous le nom de B reçoit Diana la scientifique qui tente de l’étudier et de lui faire revenir la mémoire. Cet homme n’est pas comme tout le monde, il est doté d’un pouvoir d’immortalité, il est une sorte de dieu vivant. Pour l’aider dans sa quête du sens, Diana lui propose d’explorer de nouvelles pistes dont celle de l’amour et des sentiments. Elle va le faire replonger dans le temps à travers les siècles pour tenter de retrouver des détails, des faits par le biais de ses amours perdues qui pourraient l’amener à découvrir qui il est vraiment. Mais les conclusions vont souvent aboutir à la même chose, la mort, la mort des autres.
Après le succès commercial du premier tome bien exploité par la notoriété d’un de ses scénaristes à savoir Keanu Reeves, dans ce deuxième volet, les auteurs ont donné un aspect beaucoup plus humain à monsieur B en cherchant à explorer par l’intermédiaire de Diana des pistes liées à l’amour, l’amitié, la solidarité avec Jim son frère d’armes. B est en phase avec ces recherches mais les scientifiques qui l’entourent cherchent principalement à travers le protocole X à déterminer son origine pour comprendre son immortalité et ceci à des fins militaires.
Le scénario est agréable et se laisse lire, ce volet est beaucoup moins dense et violent que le premier mais beaucoup plus construit, en attendant le dernier volet qui risque d’être explosif si B s’aperçoit qu’il est manipulé. Car le sujet est bien là, B fait entièrement confiance au gouvernement américain pour l’aider en échange du règlement de quelques conflits que les mortels ne peuvent assumer. Mais que va-t-il arriver lorsque B va découvrir la vérité, se révolter, il sera impossible d’arrêter ce dieu immortel qui se régénère perpétuellement.
Le dessin de Ron Garney est dans la lignée du héros, à la fois sombre et dynamique mais également sensible dans une deuxième lecture, à l’image du regard de ses personnages.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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