L'agence Pendergast
Acheter sur BD FugueL'AGENCE PENDERGAST
Tome 1 - Le prince des ténèbres
Tome 1 - Le prince des ténèbres
Scénario : Christophe LAMBERT
Dessin : Javi CASADO
Couleur : Hélia
Editions : AUZOU
Fin 19ème siècle, les Etats-Unis sont le lieu d’immigration des êtres paranormaux. L’agence Pendergast est là pour les réguler car tous ne nous veulent pas que du bien. Issu de roman jeunesse, cette adaptation BD est pleine d’humour, de surprise, d’action, d’histoires qui vont plaire à la fois au jeune public mais également aux adultes qui aiment les histoires fantastiques.
Dans les rues de New York en 1893, la vie bat son plein. Cette ville cosmopolite commerce, s’active et forcément, sa criminalité augmente. Parmi la foule, se trouvent ainsi de nombreux pickpockets et c’est d’ailleurs un de ceux-ci que deux hommes sont en train de poursuivre. Quelques minutes auparavant, un jeune garçon, sous prétexte de donner du feu à un homme qui semble être un riche bourgeois et n’est autre que M. Pendergast, va lui subtiliser sa montre à gousset. Va s’en suivre une course poursuite dans les rues et sur les toits de la ville avec Joe l’indien, le bras droit de Monsieur Pendergast. Alors que le jeune homme pense les avoir semés, il se fait rattraper au coin d’une rue. Mais contrairement à ce à quoi il pourrait s’attendre, les hommes ne le livrent pas à la police mais lui proposent d’aller boire un verre. Durant la conversation, ils vont apprendre que le jeune garçon se nomme Sean et ils vont lui proposer de mettre ses talents de débrouillard à disposition d’une agence d’un type un peu particulier dirigée par Monsieur Pendergast. Le jeune homme n’en saura pas plus, il a rendez-vous le lendemain matin pour découvrir l’objet de cette mission. Ce rendez-vous est peut-être une opportunité pour lui de se refaire et d’échapper aux griffes du malfrat Bloody Bill à qui il doit beaucoup d’argent.
Ce premier volet qui semble destiné à s’ouvrir sur une série remplit parfaitement son rôle. Très souvent le premier tome d’une série reste plaisant mais poussif. Ici on ne peut pas échapper à la galerie de présentation des personnages mais cela est réalisé de manière fluide à travers une histoire rythmée où l’intrigue et le suspense prennent largement leur place.
Très rapidement, Sean va devenir un personnage attachant à la fois pour le lecteur mais aussi pour les autres protagonistes de l’histoire. Il va être accompagné de Célia (la Tomb raider du groupe), Joe l’indien, Gégé le génial inventeur et du boss Monsieur Pendergast.
Au premier abord, compte tenu du CV de Sean, on pourrait penser à une agence de contrebande, eh bien pas du tout, l’agence Pendergast est là pour traquer, emprisonner, éliminer les paranormaux.
Et à partir de ce moment, l’auteur Christophe Lambert fait basculer ses personnages et les lecteurs dans un autre monde. Une sorte de « Men in black » avant l’heure avec une multitude de personnages tels que vampires, garous, elfes, monstres et j’en passe. La véritable aventure commence et ceci jusqu’à la fin de l’album.
Un monde avant tout fantastique, sans technologie matérielle ou immatérielle, juste un peu de magie à la « Harry Potter ».
Si le scénario est génial et devrait plaire aux petits comme aux grands, le dessin n’est pas en rade avec le dessinateur espagnol Javi Casado (Un peu de tarte aux épinards). Son dessin expressif et caricatural est parfaitement adapté à ce type d’histoire.
Très bon moment, très belle surprise et découverte, une nouvelle série qui mérite le détour pour tout type de lecteurs.
Dans les rues de New York en 1893, la vie bat son plein. Cette ville cosmopolite commerce, s’active et forcément, sa criminalité augmente. Parmi la foule, se trouvent ainsi de nombreux pickpockets et c’est d’ailleurs un de ceux-ci que deux hommes sont en train de poursuivre. Quelques minutes auparavant, un jeune garçon, sous prétexte de donner du feu à un homme qui semble être un riche bourgeois et n’est autre que M. Pendergast, va lui subtiliser sa montre à gousset. Va s’en suivre une course poursuite dans les rues et sur les toits de la ville avec Joe l’indien, le bras droit de Monsieur Pendergast. Alors que le jeune homme pense les avoir semés, il se fait rattraper au coin d’une rue. Mais contrairement à ce à quoi il pourrait s’attendre, les hommes ne le livrent pas à la police mais lui proposent d’aller boire un verre. Durant la conversation, ils vont apprendre que le jeune garçon se nomme Sean et ils vont lui proposer de mettre ses talents de débrouillard à disposition d’une agence d’un type un peu particulier dirigée par Monsieur Pendergast. Le jeune homme n’en saura pas plus, il a rendez-vous le lendemain matin pour découvrir l’objet de cette mission. Ce rendez-vous est peut-être une opportunité pour lui de se refaire et d’échapper aux griffes du malfrat Bloody Bill à qui il doit beaucoup d’argent.
Ce premier volet qui semble destiné à s’ouvrir sur une série remplit parfaitement son rôle. Très souvent le premier tome d’une série reste plaisant mais poussif. Ici on ne peut pas échapper à la galerie de présentation des personnages mais cela est réalisé de manière fluide à travers une histoire rythmée où l’intrigue et le suspense prennent largement leur place.
Très rapidement, Sean va devenir un personnage attachant à la fois pour le lecteur mais aussi pour les autres protagonistes de l’histoire. Il va être accompagné de Célia (la Tomb raider du groupe), Joe l’indien, Gégé le génial inventeur et du boss Monsieur Pendergast.
Au premier abord, compte tenu du CV de Sean, on pourrait penser à une agence de contrebande, eh bien pas du tout, l’agence Pendergast est là pour traquer, emprisonner, éliminer les paranormaux.
Et à partir de ce moment, l’auteur Christophe Lambert fait basculer ses personnages et les lecteurs dans un autre monde. Une sorte de « Men in black » avant l’heure avec une multitude de personnages tels que vampires, garous, elfes, monstres et j’en passe. La véritable aventure commence et ceci jusqu’à la fin de l’album.
Un monde avant tout fantastique, sans technologie matérielle ou immatérielle, juste un peu de magie à la « Harry Potter ».
Si le scénario est génial et devrait plaire aux petits comme aux grands, le dessin n’est pas en rade avec le dessinateur espagnol Javi Casado (Un peu de tarte aux épinards). Son dessin expressif et caricatural est parfaitement adapté à ce type d’histoire.
Très bon moment, très belle surprise et découverte, une nouvelle série qui mérite le détour pour tout type de lecteurs.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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