Visages - Ceux que nous sommes T03
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T03 - Vers la fontaine ardente
T03 - Vers la fontaine ardente
Scénario : Nathalie Ponsard-Gutknecht - Miceal Beausang-O'Griafa
Dessin : Aurélien Morinière
Couleur : Aurélien Morinière
Edition : Glénat
Destins croisés qui plongent les lecteurs au cœur d’une histoire familiale et de l’histoire avec un grand H.
Juin 1940 à Vitry le François, la ville est dévastée suite aux bombardements allemands. Une troupe de soldats français menée par Louis Kerbraz traverse les rues en ruines en toute insouciance jusqu’à ce qu’elle soit prise sous le feu des balles des snippers. Kerbraz arrive à s’en sortir et se rapproche de l’église d’où viennent les détonations. Il va vite se retrouver en face des tireurs qui ne sont autres que son fils Georg et Sheila l’irlandaise. La nuit arrivant, le trio va utiliser ce temps de repos pour évoquer le passé et notamment l’histoire de la mère de Georg. Louis va apprendre à son fils que sa mère s’appelait Lieselotte mais qu’ils ont dû se séparer alors qu’elle était enceinte.
Troisième volet au cœur de l’histoire avec un grand H. Une nouvelle fois les scénaristes vont mêler le récit des personnages principaux que sont Louis Kebraz, Lieselotte Ruf, leur enfant illégitime Georg et la snipeur irlandaise Sheila avec les faits marquants des guerres mondiales.
Il est maintenant reconnu que le récit de cette série est difficile à suivre, partagé entre une étude sociologique, comportementaliste et livre historique, pédagogique.
Au final, beaucoup d’informations à traiter pour le lecteur qui malheureusement desservent le génialissime pitch de départ de cet enfant né d’une relation entre un français et une allemande durant la guerre.
De plus, il semblerait que les récits s’octroient quelques libertés avec la réalité selon les spécialistes mais d’un autre côté cette série est recommandée par le musée de la grande guerre de Meaux. De quoi perdre encore plus les lecteurs dans cette saga.
Heureusement, le dessin et les couleurs d’Aurélien Morinière arrivent à maintenir, par son trait noir et sombre, l’atmosphère pesante de cette époque.
Juin 1940 à Vitry le François, la ville est dévastée suite aux bombardements allemands. Une troupe de soldats français menée par Louis Kerbraz traverse les rues en ruines en toute insouciance jusqu’à ce qu’elle soit prise sous le feu des balles des snippers. Kerbraz arrive à s’en sortir et se rapproche de l’église d’où viennent les détonations. Il va vite se retrouver en face des tireurs qui ne sont autres que son fils Georg et Sheila l’irlandaise. La nuit arrivant, le trio va utiliser ce temps de repos pour évoquer le passé et notamment l’histoire de la mère de Georg. Louis va apprendre à son fils que sa mère s’appelait Lieselotte mais qu’ils ont dû se séparer alors qu’elle était enceinte.
Troisième volet au cœur de l’histoire avec un grand H. Une nouvelle fois les scénaristes vont mêler le récit des personnages principaux que sont Louis Kebraz, Lieselotte Ruf, leur enfant illégitime Georg et la snipeur irlandaise Sheila avec les faits marquants des guerres mondiales.
Il est maintenant reconnu que le récit de cette série est difficile à suivre, partagé entre une étude sociologique, comportementaliste et livre historique, pédagogique.
Au final, beaucoup d’informations à traiter pour le lecteur qui malheureusement desservent le génialissime pitch de départ de cet enfant né d’une relation entre un français et une allemande durant la guerre.
De plus, il semblerait que les récits s’octroient quelques libertés avec la réalité selon les spécialistes mais d’un autre côté cette série est recommandée par le musée de la grande guerre de Meaux. De quoi perdre encore plus les lecteurs dans cette saga.
Heureusement, le dessin et les couleurs d’Aurélien Morinière arrivent à maintenir, par son trait noir et sombre, l’atmosphère pesante de cette époque.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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