Lady Mechanika T03 La Tablette des Destinées
Scénario : M.M. ChenDessin : Joe Benitez et Martin Montiel
Couleurs : Mike Garcia
Histoire complète qui mènera la redoutable Lady sur le continent africain. Une sympathique aventure inspirée des pulp des années 30 et qui décline Indiana Jones à la sauce steampunk. Réjouissant.
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Revenant de la chasse au Yéti dans les Alpes suisses, Lady Mechanika a la surprise de trouver chez elle la petite Winifred, nièce de son ami et allié Archibald Lewis. Celle-ci s’inquiète de ne plus avoir de nouvelles de son grand-père parti à la recherche d’une cité perdue en Afrique. C’est d’autant plus troublant que Winifred elle-même a fait l’objet d’une tentative d’enlèvement par des individus parlant allemand. En remontant la piste qui s’offre à elle, Lady Mechanika croisera la route d’une société ésotérique secrète, d’esclavagistes, d’une tribu de farouches guerrières et devra parvenir au cœur de l’Afrique par tous les moyens pour sauver ses amis et empêcher ce groupe d’Allemands aux objectifs obscurs de mettre la main sur les secrets d’une civilisation disparue.
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Sans être militante, la série est ouvertement féministe dans le sens où elle fait la part belle aux personnages féminins, héroïnes comme méchantes, dont Lady Mechanika n’est que la figure de proue. Une qualité qu’il convient de souligner tant les figures de femmes fortes et indépendantes ne sont malheureusement pas encore légion dans le monde des comics. Ce tome s’éloigne de la société victorienne steampunk des précédents albums pour nous plonger dans un périple mouvementé au cœur des mystères du continent africain. Il y est aussi question d’alchimie, de civilisation perdue et de menaces surnaturelles., Un mélange qui a fait le succès, entre autres, d’Indiana Jones. Cette histoire, écrite par un nouveau scénariste, permet à la série de se renouveler et d’élargir l’univers steampunk de Joe Benitez. Benitez qui, pour ce second cycle, se fait aidé aux crayons par Martin Montiel sans que le dessin, un des points forts de la série, ne s’en ressente. Les dessinateurs nous régalent d’ailleurs en mettant en avant les superbes personnages dans de nombreuses illustrations pleine page.
Revenant de la chasse au Yéti dans les Alpes suisses, Lady Mechanika a la surprise de trouver chez elle la petite Winifred, nièce de son ami et allié Archibald Lewis. Celle-ci s’inquiète de ne plus avoir de nouvelles de son grand-père parti à la recherche d’une cité perdue en Afrique. C’est d’autant plus troublant que Winifred elle-même a fait l’objet d’une tentative d’enlèvement par des individus parlant allemand. En remontant la piste qui s’offre à elle, Lady Mechanika croisera la route d’une société ésotérique secrète, d’esclavagistes, d’une tribu de farouches guerrières et devra parvenir au cœur de l’Afrique par tous les moyens pour sauver ses amis et empêcher ce groupe d’Allemands aux objectifs obscurs de mettre la main sur les secrets d’une civilisation disparue.
Sans être militante, la série est ouvertement féministe dans le sens où elle fait la part belle aux personnages féminins, héroïnes comme méchantes, dont Lady Mechanika n’est que la figure de proue. Une qualité qu’il convient de souligner tant les figures de femmes fortes et indépendantes ne sont malheureusement pas encore légion dans le monde des comics. Ce tome s’éloigne de la société victorienne steampunk des précédents albums pour nous plonger dans un périple mouvementé au cœur des mystères du continent africain. Il y est aussi question d’alchimie, de civilisation perdue et de menaces surnaturelles., Un mélange qui a fait le succès, entre autres, d’Indiana Jones. Cette histoire, écrite par un nouveau scénariste, permet à la série de se renouveler et d’élargir l’univers steampunk de Joe Benitez. Benitez qui, pour ce second cycle, se fait aidé aux crayons par Martin Montiel sans que le dessin, un des points forts de la série, ne s’en ressente. Les dessinateurs nous régalent d’ailleurs en mettant en avant les superbes personnages dans de nombreuses illustrations pleine page.
Christophe
Chroniqueur
La Bande Du 9
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