Lanfeust Odyssey T10
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Un Destin Karaxastin
Un Destin Karaxastin
Scénario : Christophe Arleston
Dessin : Didier Tarquin
Lettrage : Guy Mathias
Couleurs : Lyse
Cet album clôt joliment le troisième cycle de Lanfeust Odyssey. Lanfeust doit encore une fois s’employer pour sauver Troy avec le long du chemin son lot d’action, d’humour potache et de blagues salaces.
Les Banshee-Lylth s’attaquent à Troy. Ces milliers (millions ? milliards ?) de petites créatures voraces menacent de dévorer tout ce qui vit si une solution rapide et globale n’est pas trouvée. Au Darshan, royaume des dieux, Lanfeust, ses épouses, Cixi et Hébus concoctent un plan pour mettre un terme à l’invasion. Pour ce faire, ils doivent trouver ni plus ni moins que le centre du monde. Cependant, dans l’ombre se terre Glin, le fils de Cixi et Lanfeust, qui a juré de nuire à ses parents…
L’album met un terme au long cycle de Lylth qui, s’il n’égale pas la série d’origine Lanfeust de Troy, est globalement une réussite avec un récit épique et maitrisé. Ce tome sert d’épilogue plus que de final en apothéose, car si la menace est mondiale, on sent que les personnages ne font que gérer les conséquences de la défaite de Lylth. Ce prolongement était dispensable mais comme on passe un bon moment en suivant nos héros, on ne boude pas son plaisir. D’autant plus, qu’on retrouve un personnage qui m’avait manqué, le délicieux haruspice apparu dans le tome 5 de la série Lanfeust de Troy. Vous ajoutez à cela les dieux du Darshan toujours aussi amusants, Cixi et Hébus égaux à eux-mêmes, et une petite visite dans la « Provence » de Troy et vous comprendrez que les occasions de sourire ne manquent pas.
Les Banshee-Lylth s’attaquent à Troy. Ces milliers (millions ? milliards ?) de petites créatures voraces menacent de dévorer tout ce qui vit si une solution rapide et globale n’est pas trouvée. Au Darshan, royaume des dieux, Lanfeust, ses épouses, Cixi et Hébus concoctent un plan pour mettre un terme à l’invasion. Pour ce faire, ils doivent trouver ni plus ni moins que le centre du monde. Cependant, dans l’ombre se terre Glin, le fils de Cixi et Lanfeust, qui a juré de nuire à ses parents…
L’album met un terme au long cycle de Lylth qui, s’il n’égale pas la série d’origine Lanfeust de Troy, est globalement une réussite avec un récit épique et maitrisé. Ce tome sert d’épilogue plus que de final en apothéose, car si la menace est mondiale, on sent que les personnages ne font que gérer les conséquences de la défaite de Lylth. Ce prolongement était dispensable mais comme on passe un bon moment en suivant nos héros, on ne boude pas son plaisir. D’autant plus, qu’on retrouve un personnage qui m’avait manqué, le délicieux haruspice apparu dans le tome 5 de la série Lanfeust de Troy. Vous ajoutez à cela les dieux du Darshan toujours aussi amusants, Cixi et Hébus égaux à eux-mêmes, et une petite visite dans la « Provence » de Troy et vous comprendrez que les occasions de sourire ne manquent pas.
Christophe
Chroniqueur
La Bande Du 9
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