LEGENDE Tome 7
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NEIGES - TOME 07
Univers : YVES SWOLFS
Scénario : ANGE
Dessin : STEPHANE COLLIGNON
Couleurs : Julie SWOLFS
Après une longue absence et un changement de mains, Légende doit conquérir un nouveau public. Ce septième tome propose plusieurs fils rouges entremêlés autour des personnages principaux permettant de se replonger gentiment dans le bain. Espérons pour Tristan, Alexandre, Judith et Ombeline que cela soit suffisant.
L’automne est plus froid que jamais autour du palais Ducal des Halsbourg. Le peuple a faim, les récoltes sont mauvaises et les taxes ne cessent d’augmenter. C’est dans ces conditions qu’Alexandre, le nouveau Duc, ouvre la session des doléances. Mais son esprit est ailleurs, il ne cesse de penser à Ombeline, son épouse qui est de plus en plus distante et qui vit très mal l’éloignement de son frère Tristan, sans compter les troupes de Thierry le dégénéré qui s’apprêtent à franchir les frontières.
De son côté, Judith et ses comparses repoussent en permanence les hordes qui traînent autour du Duché. Quant à Tristan, après avoir refusé le trône, le voici exilé dans les terres du nord et plus précisément au Danemark où on va le confondre avec un descendant du Roi, ce qui va lui valoir quelques tracas.
La suite de Légende n’en est pas une. Après 7 ans d’absence, la série revient sous l’écriture d’Ange et les pinceaux de Stéphane Collignon. Bon, après une si longue absence, il faut se remettre dans le bain de la lecture. Cet opus permet de suivre plusieurs histoires entremêlées et de reprendre contact avec les personnages. Tristan au Danemark, Judith éternellement amoureuse de ce dernier et chef d’un réseau de brigands, Ombeline sœur de Tristan et mariée au Duc par la force des choses, et enfin Alexandre, Duc qui a pris la place de Tristan sur le trône. Graphiquement, on n’est pas loin de prendre du plaisir avec ce septième tome. Le niveau est bon, les scènes de combat violentes et dynamiques, le dessin est détaillé mais les couleurs viennent un peu gâcher le goût du plaisir par des alternances de couleurs trop prononcées cassant ainsi le rythme de l’album.
L’histoire proposée par le duo Ange n’a rien de révolutionnaire mais force est de constater qu’après une telle absence, il fallait bien remettre le lecteur sur les rails donc on peut estimer que cela n’est pas si mal. Cependant, cette série est bien destinée aux fidèles et ne peut pas conquérir un nouveau public par ce septième tome.
L’automne est plus froid que jamais autour du palais Ducal des Halsbourg. Le peuple a faim, les récoltes sont mauvaises et les taxes ne cessent d’augmenter. C’est dans ces conditions qu’Alexandre, le nouveau Duc, ouvre la session des doléances. Mais son esprit est ailleurs, il ne cesse de penser à Ombeline, son épouse qui est de plus en plus distante et qui vit très mal l’éloignement de son frère Tristan, sans compter les troupes de Thierry le dégénéré qui s’apprêtent à franchir les frontières.
De son côté, Judith et ses comparses repoussent en permanence les hordes qui traînent autour du Duché. Quant à Tristan, après avoir refusé le trône, le voici exilé dans les terres du nord et plus précisément au Danemark où on va le confondre avec un descendant du Roi, ce qui va lui valoir quelques tracas.
La suite de Légende n’en est pas une. Après 7 ans d’absence, la série revient sous l’écriture d’Ange et les pinceaux de Stéphane Collignon. Bon, après une si longue absence, il faut se remettre dans le bain de la lecture. Cet opus permet de suivre plusieurs histoires entremêlées et de reprendre contact avec les personnages. Tristan au Danemark, Judith éternellement amoureuse de ce dernier et chef d’un réseau de brigands, Ombeline sœur de Tristan et mariée au Duc par la force des choses, et enfin Alexandre, Duc qui a pris la place de Tristan sur le trône. Graphiquement, on n’est pas loin de prendre du plaisir avec ce septième tome. Le niveau est bon, les scènes de combat violentes et dynamiques, le dessin est détaillé mais les couleurs viennent un peu gâcher le goût du plaisir par des alternances de couleurs trop prononcées cassant ainsi le rythme de l’album.
L’histoire proposée par le duo Ange n’a rien de révolutionnaire mais force est de constater qu’après une telle absence, il fallait bien remettre le lecteur sur les rails donc on peut estimer que cela n’est pas si mal. Cependant, cette série est bien destinée aux fidèles et ne peut pas conquérir un nouveau public par ce septième tome.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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