Olympus Mons T06
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Einstein
Einstein
Scénario : Christophe Bec
Dessin : Stefano Raffaele
Couleurs : Digikore Studios
Couverture : Pierre Loyvet
Editions : Soleil
Final haletant et sans temps mort pour cette série de science-fiction. Enfin, toutes les réponses à nos questions.
Comme le dit la chanson, il n’y a « plus le temps », le vaisseau extraterrestre échoué en mer de Barents va exploser dans quelques heures et emportera la planète avec lui, si l’humanité ne se détruit pas elle-même avant en déclenchant une guerre. Sur Terre, le médium Aaron Goodwin et le présentateur vedette Gagnon approchent chacun de leur côté des réponses qu’ils cherchent depuis le début… Mais c’est sur Mars, au cœur du vaisseau spatial qui s’est écrasé sur les pentes du mont Olympe, que réside la seule vraie chance de survie de l’humanité, si toutefois Elena, la cosmonaute russe et Einstein, l’androïde extraterrestre, ne se font pas tués avant par des ennemis à la technologie bien plus avancée.
Cet album est sans doute le meilleur de la série, car là où les autres prenaient leur temps, celui-ci est mené tambour battant. De plus, il apporte toutes les réponses aux mystères qui s’épaississaient depuis le début, et c’est pour le moins satisfaisant.
Ce final est à la hauteur, palpitant et cohérent, sans facilité. On peut juste émettre un petit bémol sur le twist final qui ne plaira peut-être pas à tout le monde et qui n’était pas franchement indispensable, même si là encore, il n’a rien d’illogique.
Si on tire un bilan, c’est une bonne série de SF qui se termine, son rythme lent et ses personnages un peu fades l’empêchent de faire partie des meilleures, mais ça n’en reste pas moins une lecture agréable pour les amateurs du genre. Sa principale originalité est de donner le premier rôle aux Russes, sans en faire les méchants caricaturaux que l’on voit souvent dans les films américains. La façon d’aborder la présence d’extraterrestre sur Terre, si elle est moins originale, est plutôt bien traitée et l’ajout d’une pointe de surnaturel avec les médiums est un petit plus appréciable.
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Comme le dit la chanson, il n’y a « plus le temps », le vaisseau extraterrestre échoué en mer de Barents va exploser dans quelques heures et emportera la planète avec lui, si l’humanité ne se détruit pas elle-même avant en déclenchant une guerre. Sur Terre, le médium Aaron Goodwin et le présentateur vedette Gagnon approchent chacun de leur côté des réponses qu’ils cherchent depuis le début… Mais c’est sur Mars, au cœur du vaisseau spatial qui s’est écrasé sur les pentes du mont Olympe, que réside la seule vraie chance de survie de l’humanité, si toutefois Elena, la cosmonaute russe et Einstein, l’androïde extraterrestre, ne se font pas tués avant par des ennemis à la technologie bien plus avancée.
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Cet album est sans doute le meilleur de la série, car là où les autres prenaient leur temps, celui-ci est mené tambour battant. De plus, il apporte toutes les réponses aux mystères qui s’épaississaient depuis le début, et c’est pour le moins satisfaisant.
Ce final est à la hauteur, palpitant et cohérent, sans facilité. On peut juste émettre un petit bémol sur le twist final qui ne plaira peut-être pas à tout le monde et qui n’était pas franchement indispensable, même si là encore, il n’a rien d’illogique.
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Si on tire un bilan, c’est une bonne série de SF qui se termine, son rythme lent et ses personnages un peu fades l’empêchent de faire partie des meilleures, mais ça n’en reste pas moins une lecture agréable pour les amateurs du genre. Sa principale originalité est de donner le premier rôle aux Russes, sans en faire les méchants caricaturaux que l’on voit souvent dans les films américains. La façon d’aborder la présence d’extraterrestre sur Terre, si elle est moins originale, est plutôt bien traitée et l’ajout d’une pointe de surnaturel avec les médiums est un petit plus appréciable.
Christophe
Chroniqueur
La Bande Du 9
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