Pinkerton T04
Acheter sur BD Fugue Scénario : Remi GuerinDessinateur : Damour
Couleur : Paolo Francescutto
Edition : Glénat
L’agence Pinkerton ne serait jamais devenue ce qu’elle est sans la ténacité de son fondateur. Au-delà de la légende, ce quatrième tome nous permet de découvrir l’homme et les fondements de l’agence. We never sleep.
Dans les rues de Glasgow en 1828, le père d’Allan Pinkerton, policier vient de se faire assassiner. Le jeune Allan âgé de 9 ans va être propulsé dans le monde des adultes,fini les jeux et l’innocence. 64 ans plus tard à Chicago en 1884, Allan Pinkerton est en train de rédiger ses mémoires lorsqu’il est pris d’une violente attaque. Son ami Ben et sa femme vont l’accompagner dans les derniers instants de sa vie.
Ensemble à travers la lecture des feuillets de ses mémoires, ils vont retracer les grandes étapes du premier enquêteur de la police de Chicago. De son enfance à la fuite vers les Etats-Unis, en passant par la création de l’agence Pinkerton en compagnie du Juge Rucker à la résolution des affaires les plus marquantes.
Ce quatrième et dernier tome de la série (on le regrette déjà tellement, la Pinkerton National Détective Agency nous plongeait avec réalisme dans l’histoire américaine du 19ème siècle) est consacré au créateur emblématique de l’agence Pinkerton. Loin d’être une frise chronologique, les auteurs, et en particulier Remi Guerin le scénariste, ont su nous retracer les étapes importantes de la vie d’Allan Pinkerton mais surtout ils ont réussi à mettre en avant les déclencheurs qui ont permis à l’Agence Pinkerton de devenir la première agence de détective. La mort injuste du père d’Allan est certes un premier point de passage mais la lutte des classes, les méthodologies de travail de la police sont tout aussi important.
De son côté, Damour apporte sans soucis tout le charisme nécessaire aux différents personnages et décors à travers ses craies de crayons pour nous faire vivre de l’intérieur cette période de l’histoire des Etats-Unis.
Nous ne pouvons que regretter une nouvelle fois que ce quatrième tome soit le dernier. Gardons les yeux ouverts, on ne sait jamais.
Dans les rues de Glasgow en 1828, le père d’Allan Pinkerton, policier vient de se faire assassiner. Le jeune Allan âgé de 9 ans va être propulsé dans le monde des adultes,fini les jeux et l’innocence. 64 ans plus tard à Chicago en 1884, Allan Pinkerton est en train de rédiger ses mémoires lorsqu’il est pris d’une violente attaque. Son ami Ben et sa femme vont l’accompagner dans les derniers instants de sa vie.
Ensemble à travers la lecture des feuillets de ses mémoires, ils vont retracer les grandes étapes du premier enquêteur de la police de Chicago. De son enfance à la fuite vers les Etats-Unis, en passant par la création de l’agence Pinkerton en compagnie du Juge Rucker à la résolution des affaires les plus marquantes.
Ce quatrième et dernier tome de la série (on le regrette déjà tellement, la Pinkerton National Détective Agency nous plongeait avec réalisme dans l’histoire américaine du 19ème siècle) est consacré au créateur emblématique de l’agence Pinkerton. Loin d’être une frise chronologique, les auteurs, et en particulier Remi Guerin le scénariste, ont su nous retracer les étapes importantes de la vie d’Allan Pinkerton mais surtout ils ont réussi à mettre en avant les déclencheurs qui ont permis à l’Agence Pinkerton de devenir la première agence de détective. La mort injuste du père d’Allan est certes un premier point de passage mais la lutte des classes, les méthodologies de travail de la police sont tout aussi important.
De son côté, Damour apporte sans soucis tout le charisme nécessaire aux différents personnages et décors à travers ses craies de crayons pour nous faire vivre de l’intérieur cette période de l’histoire des Etats-Unis.
Nous ne pouvons que regretter une nouvelle fois que ce quatrième tome soit le dernier. Gardons les yeux ouverts, on ne sait jamais.
Eric
Chroniqueur
La Bande Du 9
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