Dead Inside
Chronique : Dead inside.
Scénario : John Arcudi.
Dessin : Toni Fejzula.
Couleur : André May.
Editions : Delcourt.
Scénario : John Arcudi.
Dessin : Toni Fejzula.
Couleur : André May.
Editions : Delcourt.
Ce comics va nous plonger dans une enquête au cœur d’une prison bien étrange… Une inspectrice y est envoyée pour résoudre un double crime dont le mystère semble irrésoluble…
En apparence, lorsque Linda Caruso arrive sur les lieux du crime, celui-ci semble simple à résoudre… Un prisonnier en aurait poignardé un autre à mort puis il aurait mis fin à ces jours… Bref, rien de bien excitant pour la division des crimes carcéraux du comté de Mariposa… Cependant, l’inspectrice se rend compte que ce n’est pas cohérent et que quelque chose cloche…
Elle demande alors à voir les enregistrements vidéo mais à cause des coupes budgétaires, rien n’a été enregistré. Son instinct lui dit qu’il faut faire une autopsie mais sa hiérarchie lui refuse, ce qui attise encore plus sa curiosité… Elle poursuit donc son enquête et grâce à son acharnement, elle va réussir à prouver qu’il s’agit bien (plus ou moins) d’un double meurtre !
On se dit donc qu’avec un nombre limité de suspects capable de s’enfuir, l’enquête devrait être rapide mais plus Linda avance plus les révélations concernant ses proches et la communauté carcérale s’accumulent… Et Linda ne sait plus quoi penser car à chaque fois qu’elle pense détenir la vérité, celle-ci se dérobe…
Le scénario de John Arcudi est vraiment parfaitement construit. Les rebondissements sont nombreux et on se demande toujours comment Linda va réussir à résoudre cette enquête entre son administration qui lui met des bâtons dans les roues et ses propres doutes sur sa capacité à être une bonne enquêtrice. C’est d’ailleurs ce que j’ai également apprécié dans cet ouvrage, Linda n’est pas un énième flic qui détient la vérité absolue mais un personnage plein de doute et c’est ce qui la rend intéressante !
Mais si le scénario est passionnant que dire du dessin de Toni Fejzula, si ce n’est qu’il est formidable ! Son découpage rend les scènes d’actions haletantes et on a presque l’impression de faire partie de l’histoire tant il arrive à nous transporter dans son univers ! On peut aussi noter le remarquable travail des couleurs d’André May qui vient encore rehausser l’esthétique de ce comics !
Vous n’avez plus qu’à vous jeter à corps perdu dans la lecture de cet ouvrage, vous ne le regretterez pas !
En apparence, lorsque Linda Caruso arrive sur les lieux du crime, celui-ci semble simple à résoudre… Un prisonnier en aurait poignardé un autre à mort puis il aurait mis fin à ces jours… Bref, rien de bien excitant pour la division des crimes carcéraux du comté de Mariposa… Cependant, l’inspectrice se rend compte que ce n’est pas cohérent et que quelque chose cloche…
Elle demande alors à voir les enregistrements vidéo mais à cause des coupes budgétaires, rien n’a été enregistré. Son instinct lui dit qu’il faut faire une autopsie mais sa hiérarchie lui refuse, ce qui attise encore plus sa curiosité… Elle poursuit donc son enquête et grâce à son acharnement, elle va réussir à prouver qu’il s’agit bien (plus ou moins) d’un double meurtre !
On se dit donc qu’avec un nombre limité de suspects capable de s’enfuir, l’enquête devrait être rapide mais plus Linda avance plus les révélations concernant ses proches et la communauté carcérale s’accumulent… Et Linda ne sait plus quoi penser car à chaque fois qu’elle pense détenir la vérité, celle-ci se dérobe…
Le scénario de John Arcudi est vraiment parfaitement construit. Les rebondissements sont nombreux et on se demande toujours comment Linda va réussir à résoudre cette enquête entre son administration qui lui met des bâtons dans les roues et ses propres doutes sur sa capacité à être une bonne enquêtrice. C’est d’ailleurs ce que j’ai également apprécié dans cet ouvrage, Linda n’est pas un énième flic qui détient la vérité absolue mais un personnage plein de doute et c’est ce qui la rend intéressante !
Mais si le scénario est passionnant que dire du dessin de Toni Fejzula, si ce n’est qu’il est formidable ! Son découpage rend les scènes d’actions haletantes et on a presque l’impression de faire partie de l’histoire tant il arrive à nous transporter dans son univers ! On peut aussi noter le remarquable travail des couleurs d’André May qui vient encore rehausser l’esthétique de ce comics !
Vous n’avez plus qu’à vous jeter à corps perdu dans la lecture de cet ouvrage, vous ne le regretterez pas !
François
Chroniqueur
La Bande Du 9
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