IRONS
IRONS
T01 : Ingénieur-conseil
Scénario : Tristan RoulotT01 : Ingénieur-conseil
Dessins : Luc Brahy
Couleurs : Hugo Facio
Editions : Le Lombard
Collection : Troisième vague
Ingénieur spécialisé dans les superstructures, Jack Irons est connu et reconnu dans le monde entier pour ses compétences. Lorsqu’un édifice hors du commun doit-être réalisé, c’est à lui qu’on fait appel ! Par contre, il peut paraitre irritant et énervant… Au contraire de cette BD qui se révèle passionnante !
Aux Etats-Unis en 1967, une famille normale emprunte un pont… quand celui-ci s’effondre d’un coup ! Le père, au volant, ne peut-empêcher la voiture de sombrer mais conserve un calme surprenant et explique à chacun ce qu’il doit faire…
Ile du Prince Edouard au Canada, aujourd’hui. Jack Irons est désormais un célèbre ingénieur et il va se retrouver confronter aux terribles fantômes de son enfance… En effet, alors qu’il cherche à quitter l’île, le pont qui le relie au continent va céder… Puisqu’il ne peut plus quitter l’ile, il décide, après réflexion, d’aider la police locale en apportant ses compétences pour enquêter sur cet effondrement suspect. L’inspectrice est ravie de son aide et s’attache à Jack malgré son mauvais caractère et son aspect d’ours mal léché.
L’ingénieur en génie civil commence donc son enquête et se rend très vite compte que ce pont stigmatise des tensions entre les pêcheurs, qui considèrent que sa construction leur a fait perdre leur gagne pain (le homard), et la compagnie Northern Cross qui a construit et qui gère ce pont. Jack va se révéler d’une grande efficacité car il ne souhaite obtenir qu’une chose : la vérité !
Après son trader d’Hedge Fund, Tristan RoulotI nous livre un excellent scénario sur un nouveau thème surprenant. Qui aurait imaginé qu’une BD sur l’architecture et l’ingénierie se révèle aussi passionnante ? Grâce à son intrigue bien construite et à son héros attachant (bien) malgré lui, on ne lâche pas cette BD une fois qu’on l’a commencé. En plus, tout semble vraisemblable et nous amène à nous poser des questions tant sur les questions écologiques qu’économiques.
Au dessin, le travail de Luc Brahy est vraiment intéressant, les paysages canadiens et la représentation des ouvrages d’art, tant celui du flashback que celui de l’ile du Prince Edouard, sont magnifiques. Le tout est mis en valeur par le travail des couleurs d’Hugo Facio.
Il faudra suivre cette série avec attention car elle me semble être lancée sur l’autoroute du succès !


Ile du Prince Edouard au Canada, aujourd’hui. Jack Irons est désormais un célèbre ingénieur et il va se retrouver confronter aux terribles fantômes de son enfance… En effet, alors qu’il cherche à quitter l’île, le pont qui le relie au continent va céder… Puisqu’il ne peut plus quitter l’ile, il décide, après réflexion, d’aider la police locale en apportant ses compétences pour enquêter sur cet effondrement suspect. L’inspectrice est ravie de son aide et s’attache à Jack malgré son mauvais caractère et son aspect d’ours mal léché.
L’ingénieur en génie civil commence donc son enquête et se rend très vite compte que ce pont stigmatise des tensions entre les pêcheurs, qui considèrent que sa construction leur a fait perdre leur gagne pain (le homard), et la compagnie Northern Cross qui a construit et qui gère ce pont. Jack va se révéler d’une grande efficacité car il ne souhaite obtenir qu’une chose : la vérité !
Après son trader d’Hedge Fund, Tristan RoulotI nous livre un excellent scénario sur un nouveau thème surprenant. Qui aurait imaginé qu’une BD sur l’architecture et l’ingénierie se révèle aussi passionnante ? Grâce à son intrigue bien construite et à son héros attachant (bien) malgré lui, on ne lâche pas cette BD une fois qu’on l’a commencé. En plus, tout semble vraisemblable et nous amène à nous poser des questions tant sur les questions écologiques qu’économiques.

Au dessin, le travail de Luc Brahy est vraiment intéressant, les paysages canadiens et la représentation des ouvrages d’art, tant celui du flashback que celui de l’ile du Prince Edouard, sont magnifiques. Le tout est mis en valeur par le travail des couleurs d’Hugo Facio.
Il faudra suivre cette série avec attention car elle me semble être lancée sur l’autoroute du succès !
François
Chroniqueur
La Bande Du 9
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