Orbital T08
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Scénario : Sylvain Runberg
Dessin & couleur : Serge Pellé
Editions : Dupuis
La fin de cette quatrième mission tient toutes ses promesses avec de l’action, des révélations et de l’inattendu. Du grand space opera.
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La situation est critique pour la Confédération : les Névronomes, une race de vaisseaux intelligents, menacent d’exploser à proximité de villes surpeuplées. Certains, au sein du conseil de la Confédération, poussent pour une attaque générale des vaisseaux en espérant les détruire avant qu’ils n’explosent. Mais la dirigeante veut encore laisser du temps à Caleb et à Mézoké qui se rendent sur la planète d’origine des Névronomes afin de comprendre ce qui leur arrive. Là, ils devront découvrir les secrets des origines de ces êtres étonnants et tout faire pour les aider à surmonter une crise majeure qui menace leur existence même. Et si cela n’était déjà pas assez compliqué comme ça, ils doivent réussir tout ça avant que les Névronomes n’explosent ou que la Confédération ne déclenche une guerre irrémédiable.
Et pendant ce temps-là, Kristina, la petite sœur instable de Caleb, essaye de survivre au nettoyage en règle de la zone de non-droit que constitue Tetsuam par la Confédération.
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Toutes les qualités des opus précédents, que ce soit au niveau du scénario ou à celui du dessin, se retrouvent dans ce huitième album. Il nous offre ce qu’on peut faire de mieux dans le space-opera : des menaces cosmiques, des planètes exotiques, des races extra-terrestres fascinantes… Caleb et Mezoké, les deux charismatiques héros de cette saga, méritent de figurer parmi les personnages de BD les plus significatifs de ces dernières années.
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Ce tome nous permet d’en savoir plus sur les mystérieux Névronomes, ce qui était un des gros points d’interrogation de la série depuis ses débuts. Les décors de leur planète d’origine sont tout simplement superbes et la fin laisse entrevoir d’enthousiasmantes possibilités pour la suite. L’action n’est pas en reste, et s’il n’y a pas de combats à proprement parlé, les conditions de vie hostiles de la planète font que le sort de nos héros est constamment sur le fil.
Bref, du tout bon.
La situation est critique pour la Confédération : les Névronomes, une race de vaisseaux intelligents, menacent d’exploser à proximité de villes surpeuplées. Certains, au sein du conseil de la Confédération, poussent pour une attaque générale des vaisseaux en espérant les détruire avant qu’ils n’explosent. Mais la dirigeante veut encore laisser du temps à Caleb et à Mézoké qui se rendent sur la planète d’origine des Névronomes afin de comprendre ce qui leur arrive. Là, ils devront découvrir les secrets des origines de ces êtres étonnants et tout faire pour les aider à surmonter une crise majeure qui menace leur existence même. Et si cela n’était déjà pas assez compliqué comme ça, ils doivent réussir tout ça avant que les Névronomes n’explosent ou que la Confédération ne déclenche une guerre irrémédiable.
Et pendant ce temps-là, Kristina, la petite sœur instable de Caleb, essaye de survivre au nettoyage en règle de la zone de non-droit que constitue Tetsuam par la Confédération.
Toutes les qualités des opus précédents, que ce soit au niveau du scénario ou à celui du dessin, se retrouvent dans ce huitième album. Il nous offre ce qu’on peut faire de mieux dans le space-opera : des menaces cosmiques, des planètes exotiques, des races extra-terrestres fascinantes… Caleb et Mezoké, les deux charismatiques héros de cette saga, méritent de figurer parmi les personnages de BD les plus significatifs de ces dernières années.
Ce tome nous permet d’en savoir plus sur les mystérieux Névronomes, ce qui était un des gros points d’interrogation de la série depuis ses débuts. Les décors de leur planète d’origine sont tout simplement superbes et la fin laisse entrevoir d’enthousiasmantes possibilités pour la suite. L’action n’est pas en reste, et s’il n’y a pas de combats à proprement parlé, les conditions de vie hostiles de la planète font que le sort de nos héros est constamment sur le fil.
Bref, du tout bon.
Christophe
Chroniqueur
La Bande Du 9
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