VISA TRANSIT T02
Acheter sur BD FugueVISA TRANSIT T02
Auteur : Nicolas de CrécyEditions : Gallimard
Après les avoir laissés dans les Balkans, on retrouve les deux cousins dans leur road-trip pour la Turquie. Durant cet été 1986, leur vieille Citroën Visa tient le coup malgré les kilomètres qui s’accumulent ! Pour notre plus grand plaisir, Nicolas de Crécy continue de nous livrer ses souvenirs à propos d’un voyage initiatique au cœur de l’Europe.
Après avoir quitté la France et traversé l’Italie, la Yougoslavie et la Bulgarie, les deux jeunes hommes, Nicolas de Crécy et son cousin Guy, arrivent aux portes de l’Asie. Laissant derrière l’Europe de l’Est, ils avalent les kilomètres et les heures de conduite avec l’objectif de découvrir la capitale : Istanbul, synonyme de passage entre deux mondes.
Mais ce voyage n’est pas une sinécure. Entre la fatigue provoquée par la route ou les difficiles passages aux frontières à cause de douaniers suspects, les petits ennuis s’accumulent… Mais malgré leur radar 2000, un élément décoratif ajouté à la Visa, ou les grands classiques des auteurs français de leur bibliothèque itinérante, qui perturbent le douanier, celui-ci finit par les laisser passer malgré ses doutes !
Malgré les nuits difficiles à cause de l’inconfort de cette veille voiture, les cousins partagent ce voyage et vivent des moments insolites comme lorsqu’il croise un policier fan des accessoires de leur voiture et qui n’hésite pas à user des siens…
Après Istanbul, ils décident de pousser vers le centre de la Turquie et Nicolas de Crécy en profite pour disgresser sur un voyage qu’il mènera 10 ans plus tard en Biélorussie.
Durant tout le voyage, les deux cousins jouent avec la musicalité des mots et l’auteur cite également Kafka, Michaux ou bien encore Turner continuant ainsi les références littéraires entreprises dans le premier tome…
Malgré les difficultés, ce voyage occupe une place à part dans l’esprit de Nicolas de Crécy. Ce road-trip quasiment entièrement refait à partir de ses souvenirs, vu le peu de photo de leur périple, est aussi agréable à lire qu’à parcourir. Une douce nostalgie se dégage de ce récit notamment grâce au dessin chaud et lumineux. Le fait d’avoir fait le choix de l’aquarelle apporte une réelle plus-value notamment lorsque l’auteur illustre les magnifiques paysages traversés lors de leur périple !
Une série à poursuivre ou à découvrir pour ceux qui ne l’ont pas encore découverte !
Après avoir quitté la France et traversé l’Italie, la Yougoslavie et la Bulgarie, les deux jeunes hommes, Nicolas de Crécy et son cousin Guy, arrivent aux portes de l’Asie. Laissant derrière l’Europe de l’Est, ils avalent les kilomètres et les heures de conduite avec l’objectif de découvrir la capitale : Istanbul, synonyme de passage entre deux mondes.
Mais ce voyage n’est pas une sinécure. Entre la fatigue provoquée par la route ou les difficiles passages aux frontières à cause de douaniers suspects, les petits ennuis s’accumulent… Mais malgré leur radar 2000, un élément décoratif ajouté à la Visa, ou les grands classiques des auteurs français de leur bibliothèque itinérante, qui perturbent le douanier, celui-ci finit par les laisser passer malgré ses doutes !Malgré les nuits difficiles à cause de l’inconfort de cette veille voiture, les cousins partagent ce voyage et vivent des moments insolites comme lorsqu’il croise un policier fan des accessoires de leur voiture et qui n’hésite pas à user des siens…
Après Istanbul, ils décident de pousser vers le centre de la Turquie et Nicolas de Crécy en profite pour disgresser sur un voyage qu’il mènera 10 ans plus tard en Biélorussie.
Durant tout le voyage, les deux cousins jouent avec la musicalité des mots et l’auteur cite également Kafka, Michaux ou bien encore Turner continuant ainsi les références littéraires entreprises dans le premier tome…
Malgré les difficultés, ce voyage occupe une place à part dans l’esprit de Nicolas de Crécy. Ce road-trip quasiment entièrement refait à partir de ses souvenirs, vu le peu de photo de leur périple, est aussi agréable à lire qu’à parcourir. Une douce nostalgie se dégage de ce récit notamment grâce au dessin chaud et lumineux. Le fait d’avoir fait le choix de l’aquarelle apporte une réelle plus-value notamment lorsque l’auteur illustre les magnifiques paysages traversés lors de leur périple !
Une série à poursuivre ou à découvrir pour ceux qui ne l’ont pas encore découverte !
François
Chroniqueur
La Bande Du 9
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